27, très locale en Afrique, la Prinia aquatique est... bangotine !
Prinia aquatique (Prinia fluviatilis) dans les typhaies du Djeuss, près du Ranch de Bango 2015 03 27, 17h50 / © Photo par Frédéric Bacuez |
* Sur les rives du Djeuss, près du Ranch de Bango-
SOIR, 16h-18h30-
A pied. Avec Abdoulaye Sow.
Météo : disparition totale des vents du nord; ciel bleu, légère hausse de la chaleur d'après-midi.
SOIR, 16h-18h30-
A pied. Avec Abdoulaye Sow.
Météo : disparition totale des vents du nord; ciel bleu, légère hausse de la chaleur d'après-midi.
C'est dans les herbiers inondables, les roselières et les typhaies qui bordent le Djeuss et ses deux affluents, le N'Galam et le Lampsar, qu'on aura le plus de chance d'observer quelques espèces hivernantes et afrotropicales de passereaux paludicoles. Dans le delta du fleuve Sénégal, c'est le site le plus proche de l'océan - et de Saint-Louis- pour découvrir le petit monde très discret des marais. Autour de Bango en particulier, on pourra déambuler sur la digue qui enjambe le marigot villageois et contourne les dépressions inondables du Djeuss aval jusqu'à Mboubeune et la route de Diama: juste après le village sur la droite, de l'autre coté du bolong de Khaïga, on trouvera peut-être un passage au sec ou on chaussera des bottes pour entrer un peu plus dans le marais et les pâturages verdoyants. Plus loin, peu avant les casiers rizicoles, on s'attardera près du Maroum Diassik, un effluent du Djeuss jadis fréquenté par les crocodiles - il y a fort longtemps... Pour faire plus accessible encore, on restera sur la rive sud du marigot qui forme devant Bango un vaste réservoir d'eau douce et on longera la piste qui rejoint le Ranch de Bango en essayant de trouver la diguette de terre qui s'enfonce vers la typhaie riveraine - malheureusement invasive au point d'obstruer la vue si un incendie providentiel ne la freine pas, provisoirement, dans son irrésistible colonisation des berges - ça a été le cas, en 2014.
14 espèces de passereaux paludicoles !
Environ treize espèces paludicoles stricto sensu - inféodées aux zones marécageuses- sont régulièrement observables dans le bas-delta du Sénégal, depuis le lac de Guiers, au nord-est, jusqu'aux abords de l'embouchure du fleuve, au sud-ouest. On y ajoutera la présence hivernale du passereau le plus menacé d'Europe, le Phragmite aquatique (Acrocephalus paludicola, Aquatic Warbler), récemment découvert sur quelques prairies inondées du Djoudj (janvier 2007) et du Diawling (2011), ce qui fait des deux parcs nationaux sénégalais et mauritanien, rien que pour les beaux yeux du petit oiseau, des sites cruciaux pour la sauvegarde de nos migrateurs nordiques - d'autant qu'ils sont à l'heure actuelle quasiment les seuls (avec, marginalement, le delta intérieur du fleuve Niger) à accueillir annuellement près des trois-quarts de l'effectif mondial de ce phragmite-là* ! Des treize espèces plus ou moins répandues dans le delta, six sont des résidentes locales, sept sont des hivernantes d'Europe:
- Hivernantes/Passantes du Paléarctique :
Sites à paludicoles sur le réservoir du Djeuss 'doux', Bango |
14 espèces de passereaux paludicoles !
Environ treize espèces paludicoles stricto sensu - inféodées aux zones marécageuses- sont régulièrement observables dans le bas-delta du Sénégal, depuis le lac de Guiers, au nord-est, jusqu'aux abords de l'embouchure du fleuve, au sud-ouest. On y ajoutera la présence hivernale du passereau le plus menacé d'Europe, le Phragmite aquatique (Acrocephalus paludicola, Aquatic Warbler), récemment découvert sur quelques prairies inondées du Djoudj (janvier 2007) et du Diawling (2011), ce qui fait des deux parcs nationaux sénégalais et mauritanien, rien que pour les beaux yeux du petit oiseau, des sites cruciaux pour la sauvegarde de nos migrateurs nordiques - d'autant qu'ils sont à l'heure actuelle quasiment les seuls (avec, marginalement, le delta intérieur du fleuve Niger) à accueillir annuellement près des trois-quarts de l'effectif mondial de ce phragmite-là* ! Des treize espèces plus ou moins répandues dans le delta, six sont des résidentes locales, sept sont des hivernantes d'Europe:
- Hivernantes/Passantes du Paléarctique :
- Gorgebleue à miroir (Luscinia svecica)
- Tarier des prés (saxicola rubetra)
- Locustelle tachetée (Locutella naevia)
- Locustelle luscinoïde (Locustella luscinioides)
- Phragmite des joncs (Acrocephalus schoenobaenus)
- Rousserolle effarvatte (Acrocephalus scirpaceus)
- Rousserolle turdoïde (Acrocephalus arundinaceus)
- Tarier pâtre (d'Afrique) de Mopti (Saxicola torquatus ssp. moptanus)
- Rousserolle africaine (Acrocephalus baeticatus)
- Rousserolle des cannes (Acrocephalus rufescens)
- Cisticole roussâtre (Cisticola galactotes ssp. amphilectus)
- Gobemouche des marais (Muscicapa aquatica)
- Prinia aquatique (Prinia fluviatilis)
Les vachettes dans le marais... Cherchez le Tarier pâtre d'Afrique/de Mopti, un mâle ! 2015 03 27, 17h30 / © Photo par Frédéric Bacuez |
La prinia aquatique,
une africaine seulement connue de trois/quatre aires fragmentées !
En rappel sur Ornithondar :
SAURIENS / 1 espèce
AUTRES / 1 espèce
Vu :
Entendu :
Documentée pour la première fois des rives du lac de Guiers par l'ornithologue français Claude Chappuis, au début des années '70 du siècle dernier, la Prina aquatique (Prinia fluviatilis, River Prinia) ressemble à s'y méprendre à sa cousine la Prina modeste (Prinia subflava, Tawny-flanked Prinia). Si la seconde est ubiquiste, un peu comme la Cisticole des joncs (Cisticola juncidis), fréquentant assidûment les buissons de Tamarix senegalensis pas obligatoirement près de l'eau, la Prinia aquatique comme son nom l'indique est plus inféodée aux marais sans jamais s'aventurer trop loin dans l'épaisseur des roselières - en particulier des étouffantes et invasives typhaies... Comme chez les paludicoles européennes (Acrocephalus paludicola et schoenobaenus), on pourrait dire que chez les prinias africaines (Prinia fluviatilis et subflava) nos prinias du jour sont les Phragmites aquatiques de l'Afrique occidentale !
En rappel sur Ornithondar :
" (...) ce sylvidé endémique d'Afrique de l'ouest est aussi le passereau le plus localisé, dans la région soudano-sahélienne: seulement présent sur trois à quatre zones humides, la prinia aquatique - ou fluviatile (à ventre blanc, Prinia fluviatilis, River Prinia), n'a été décrite qu'en 1974 (cf. Chappuis C. in Alauda, XLII, pages 492-494) et observée au Sénégal, pour l'heure, qu'autour du lac de Guiers et dans le bas-delta du Sénégal (Mauritanie-Sénégal, de part et d'autre du fleuve et sur ses proches affluents), sur le moyen Niger, grosso modo entre Gao (Mali) et Niamey (Niger) puis dans les méandres du fleuve Niger longeant le parc national du W (Niger-Bénin), ainsi que sur le pourtour du lac Tchad (Tchad, nord Cameroun et peut-être Niger). En outre, cet oiseau sédentaire est très difficile à différencier de sa cousine la Prinia modeste (Prinia subflava, Tawny-flanked Prinia), autrement plus répandue et commune sur l'ensemble de l'Afrique occidentale (du Golfe de Guinée aux confins pré-sahariens) car beaucoup moins exigeante pour l'habitat, également herbeux et humide, mais pas exclusivement, se contentant parfois d'espaces broussailleux même asséchés - temporairement.
Les deux prinias ne se différencient en réalité que par le chant et l'habitat. En y regardant plus attentivement, on observera que la Prinia aquatique est plus grise dessus, plus pâle dessous, et possède une queue pareillement étagée mais un peu plus longue - mais pas toujours, ah ah... , peut-être plus transparente aussi. La Prinia modeste est plus 'cisticole' d'aspect, le dessus du plumage souvent plus 'écailleux' et brunâtre, avec un trait oculaire sombre - plus visible que chez l'aquatique - dépassant largement l’œil... - mais pas toujours, oh oh... C'est le vrai problème: hors l'habitat et le chant, tous ces critères physiques varient beaucoup d'un individu à l'autre, d'un âge à l'autre... Hi hi ! "
- In Hé hé ! un(e) prinia aquatique !, 2010 11 11
Prinia aquatique, Cisticole roussâtre amphilectus et Tarier pâtre d'Afrique moptanus
Au seuil de Bango, les prairies inondables et les roselières adjacentes du Djeuss sont d'un grand intérêt ornithologique pour observer dans d'excellentes conditions, outre la Prinia aquatique (cf. photo ci-après), les races moptanus du Tarier pâtre d'Afrique (Saxicola torquatus, African stonechat, cf. photo ci-après) et amphilectus de la Cisticole roussâtre (Cisticola galactotes, Winding Cisticola, cf. photo ci-après). Ces deux sous-espèces sont des particularités locales impossibles à observer ailleurs qu'ici, dans le Sahel sénégalais. Si cette cisticole possède un noyau dynamique dans le delta du fleuve Sénégal, depuis le lac de Guiers jusqu'à l'estuaire, celui-ci est enclavé et éloigné de son aire de distribution plus méridionale qui traverse le pays de la péninsule du Cap-Vert au Niokolo Koba,vers l'est, et à la Casamance, vers le sud. Quant au cousin africain du Tarier pâtre paléarctique, sa répartition est plus restreinte que celle de la Cisticole roussâtre : au Sénégal, il n'est présent que dans le delta du fleuve, du lac de Guiers aux abords de Saint-Louis. Moins commun que la cisticole, on l'observera volontiers de part et d'autre du Ngalam et du Djeuss d'eau douce, du coté du Ranch de Bango et au pied de la digue qui mène vers Mboubeune, notamment autour du Maroum Diassik et des casiers rizicoles proches.
* Voir : Acrola.fr/Afrique
OISEAUX / 42 espèces, 2 sp. entenduesPrinia aquatique, Cisticole roussâtre amphilectus et Tarier pâtre d'Afrique moptanus
Au seuil de Bango, les prairies inondables et les roselières adjacentes du Djeuss sont d'un grand intérêt ornithologique pour observer dans d'excellentes conditions, outre la Prinia aquatique (cf. photo ci-après), les races moptanus du Tarier pâtre d'Afrique (Saxicola torquatus, African stonechat, cf. photo ci-après) et amphilectus de la Cisticole roussâtre (Cisticola galactotes, Winding Cisticola, cf. photo ci-après). Ces deux sous-espèces sont des particularités locales impossibles à observer ailleurs qu'ici, dans le Sahel sénégalais. Si cette cisticole possède un noyau dynamique dans le delta du fleuve Sénégal, depuis le lac de Guiers jusqu'à l'estuaire, celui-ci est enclavé et éloigné de son aire de distribution plus méridionale qui traverse le pays de la péninsule du Cap-Vert au Niokolo Koba,vers l'est, et à la Casamance, vers le sud. Quant au cousin africain du Tarier pâtre paléarctique, sa répartition est plus restreinte que celle de la Cisticole roussâtre : au Sénégal, il n'est présent que dans le delta du fleuve, du lac de Guiers aux abords de Saint-Louis. Moins commun que la cisticole, on l'observera volontiers de part et d'autre du Ngalam et du Djeuss d'eau douce, du coté du Ranch de Bango et au pied de la digue qui mène vers Mboubeune, notamment autour du Maroum Diassik et des casiers rizicoles proches.
* Voir : Acrola.fr/Afrique
Ci-dessous :
à g., Prinia aquatique, 2015 03 27 - au centre, Tarier pâtre d'Afrique, 2013 02 11 - à d., Cisticole roussâtre, 2015 03 12
à g., Prinia aquatique, 2015 03 27 - au centre, Tarier pâtre d'Afrique, 2013 02 11 - à d., Cisticole roussâtre, 2015 03 12
Roselières du Djeuss, rive droite rive gauche... / © Photos par Frédéric Bacuez
SAURIENS / 1 espèce
AUTRES / 1 espèce
Vu :
- Pélican blanc (pelecanus onocrotalus, great white pelican), plusieurs ind. ici et là dans le ciel du Lampsar et de la plaine alluviale proche
- Cormoran africain (phalacrocorax africanus ssp. africanus, long-tailed cormorant), quelques ind. émergeant en vol de derrière les typhaies bordant le Lampsar
- Grand cormoran à poitrine blanche (phalacrocorax carbo lucidus, white-breasted cormorant), 2+ ind. en vol aval>amont du Lampsar 'doux'
- Crabier chevelu (ardeola ralloides, squacco heron), 1 seul ind.
- Héron garde-bœuf (bubulcus ibis ssp. ibis, cattle egret), quelques ind. accompagnant les bovins [dans les herbiers]
- Aigrette/Héron intermédiaire (egretta intermedia ssp. brachyrhyncha, intermediate egret), 1 ind. solitaire bien observé en train de 'chasser' dans les herbiers (cf. photo ci-dessous), au milieu des jacanas et des vachettes
- Héron pourpré (ardea purpurea ssp. purpurea, purple heron), 1 ind. immature en train de 'chasser' dans les typhas épars
- Balbuzard pêcheur (pandion haliaetus ssp. haliaetus, osprey), au moins 2 ind. immatures - dont ind. en mue- effectuant de nombreux allers et venues au-dessus du Lampsar avec plongeons et piaulements lorsque les deux rapaces se rencontrent ! (cf. photos ci-dessous)
- Pygargue vocifère (haliaeetus vocifer, african fish eagle), 1 ind. du cc local (17h20)
- Milan parasite/Milan d'Afrique à bec jaune (milvus parasitus, yellow-billed kite), ind. locaux
- Râle/Marouette à bec jaune (amaurornis flavirostra, black crake), 1 ind. furtif
- Gallinule poule d'eau (gallinula chloropus, common moorhen), 1 ind. femelle au gagnage: s'est hissée sur des typhas secs en partie couchés et glane en les escaladant
- Jacana à poitrine dorée (actophilornis africana, african jacana), premier groupe de 13+ ind. rejoint par 20+ ind. probablement levés des bords du Lampsar par une embarcation de pêche (cf. photo ci-dessous et Lire ICI)
- Vanneau à éperons (vanellus spinosus, spur-winged lapwing), 4 ind. dont cc local territorial
- Chevalier sylvain (tringa ochropus, wood sandpiper), 1 seul ind., chassant dans les herbiers
- Goéland brun (larus fuscus ssp., lesser black-backed gull)
- Mouette à tête grise (larus cirrocephalus ssp. poiocephalus, grey-headed gull)
- Mouette rieuse (larus ridibundus, black-headed gull), réunion au sommet saisonnier au milieu du Djeuss 'doux'...
- Sterne caspienne (sterna caspia, Caspian tern), 2 à 3 ind. passant au dessus du Lampsar [aval>amont]
- Tourterelle masquée (oena capensis ssp. capensis, Namaqua dove), 1 ind. en vol passant [amont>aval]
- Tourterelle maillée (streptopelia senegalensis ssp. senegalensis, laughing dove)
- Pigeon roussard (de Guinée, columba guinea ssp. guinea, speckled pigeon), 3 ind. à l'abreuvoir + nombreux vols en petites bandes passantes après 17h [amont>aval]
- Tourterelle pleureuse (du Niger, streptopelia decipiens ssp. shelleyi, african mourning dove)
- Martinet des maisons (apus affinis ssp. aerobates, little swift), quelques ind. passant après 18h [amont>aval]
- Guêpier nain (merops pusillus ssp. pusillus, little bee-eater), plusieurs ind. chassant dans les herbiers à partir des tiges de roseaux épars
- Guêpier à gorge blanche (merops albicollis, white-throated bee-eater), 1 ind. de 1ère AC perché sur un vieux prosopis du garage du Ranch de Bango ! Précoce migrateur intra africain ! (A suivre sur Ornithondar)
- Guêpier (de Perse) du Sahara (merops persicus, blue-cheeked bee-eater), adultes plutôt solitaires chantant de temps à autre dans le ciel
- Cochevis huppé (galerida cristata ssp. senegallensis, crested lark), 1 ind. vient boire
- Hirondelle de rivage (riparia riparia, common sand martin)
- Hirondelle rousseline (cecropis daurica ssp. rufula, red-rumped swallow), groupe de 3 ind; passant S>N à 18h (cf. photo ci-dessous)
- Hirondelle rustique (hirundo rustica, barn swallow), surtout avant 17h
- Bergeronnette ibérique (motacilla iberiae, iberian wagtail), exclusivement de la race ibérique: 1 + 1 + 1 ind.
- Rougequeue à front blanc (phoenicurus phoenicurus ssp. phoenicurus, common restart), 1 + 1 ind. [sous les arbustes le long du chemin menant vers le Ranch]
- Tarier pâtre d'Afrique (saxicola torquatus ssp. moptanus, african stonechat), 2 à 3 ind., mâle(s) et femelle - chassant dans les herbiers inondés à partir des tiges de typhas épars (cf. photo ci-dessus)
- Phragmite des joncs (acrocephalus schoenobaenus, sedge warbler), 1 ind.
- Crombec sittelle (sylvieta brachyura ssp. brachyura, northern crombec), 1 ind. en vol
- Cisticole roussâtre (cisticola galactotes ssp. amphilectus, winding cisticola), 1 ind. juvénile/immature au sol, près de l'eau d'un chenal (cf. photo ci-dessus)
- Prinia aquatique (prinia fluviatilis, river prinia), 2 à 3 ind. furtifs - dont ind. bien observé (cf. photo ci-dessus et en haut de notule)
- Souïmanga à longue queue (cinnyris pulchellus, beautiful sunbird), 2+ ind. dont mâle immature en mue
- Moineau doré (passer luteus, Sudan golden sparrow), quelques ind. viennent boire, d'autres en vols passant
- Tisserin à tête noire (ploceus m. melanocephalus, black-headed weaver)
- Amarante du Sénégal (lagonosticta senegala, red-billed firefinch)
Pygargue vocifère (haliaeetus vocifer) / Guêpier du Sahara (merops persicus) / Perruche à collier (psittacula krameri ssp. krameri) [Ranch] / Prinia aquatique (prinia fluviatilis), plusieurs ind. / Hypolaïs obscure (hippolais opaca), 1 ind. /
AUTRES :
Ci-dessous, de haut en bas et de g. à d. :
Balbuzard pêcheur en mue, plongeant dans le Djeuss - Les parages marécageux du Djeuss 'doux' - Deux Balbuzards piaulent en se croisant !
Hirondelle rousseline de la race rufula en migration prénuptiale - Aigrette intermédiaire ssp. brachyrhyncha - Jacana à poitrine dorée
Hirondelle rousseline de la race rufula en migration prénuptiale - Aigrette intermédiaire ssp. brachyrhyncha - Jacana à poitrine dorée
2015 03 27 / © Photos par Frédéric Bacuez
AUTRES :
- Varan de l'ouest africain (varanus stellatus, West african Monitor), 2 ind. - un adulte volumineux et un immature sautant dans l'eau depuis l'arbre dans lequel il dormait !
- Petit monarque d'Afrique (danaus chrysippus ssp. chrysippus, common plain tiger, lesser wanderer, queen butterfly, 'african queen'), 1 ind.
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