19, poursuite de la colonisation du nord par les hirondelles de Guinée: au tour du Khant !
Hirondelle de Guinée - hirundo lucida lucida, jeune sujet en mue Marais du Khant-nord 2018 01 19, 14h14 / © Photo par Frédéric Bacuez |
* A l'orient du marigot de Khant-nord: des anciennes gravières à la digue de Mengueye -
6h-16h-
A pied.
Temps: 14-30°. Lever du soleil, 7h37 / UV, 8, très élevé
(5h, 15°) / 6h, 14° / 9h, 17° / 13h, 27° / 15h, 30° /
Pas de rosée / Vent due NE, 26 km/h
Maximale des températures ces 30 dernières années: 35° (2016) / Moyenne maximale des températures sur 30 ans: 28°
Minimale des températures ces 30 dernières années: 15° (1989) / Moyenne minimale des températures sur 30 ans: 19°
Ci-dessus: sables et coquillages, crane de phaco' et sachet erratique, acacias en sursis...
Khant oriental 2018 01 19, 10h43 / © Photo smartphone Frédéric Bacuez
Sur les talus et bordures des gravières à sables coquilliers
Le 10 janvier dernier, un (1) grand-duc du Sahel (bubo cinerascens) a été observé et photographié quelque part par ici, entre boisements à acacia seyal et anciennes gravières à sables coquilliers [Obs. A. & D. Mignot, voir et lire ICI sur Ornithondar]. Ce 19 janvier, je décide de billebauder dans le secteur de cette exceptionnelle coche sahélienne, afin de comprendre pourquoi ledit rapace avait choisi de stationner, ou seulement passer, sur ce bout de terroir des Trois-Marigots... Je ne m'attends pas à rencontrer le hibou, et je ne le verrai pas - je ne crois pas aux miracles.
Le grand-duc du Sahel est venu voir, c'est certain, ce qu'il en était de ce vaste périmètre comme un ancien champ de bataille déchiqueté par les bombes, à la vérité une gravière de sables coquilliers aujourd'hui en très grande partie délaissée. Il y a bien de temps à autre, un peu plus au sud, et par ici quand le marigot est très au sec, quelques camions du BTP qui viennent se servir en sables, entre la cuvette du Khant et ces vastes excavations aujourd'hui inondées, bordées d'une végétation parfois dense, buissonnante - acérée. Les arbres, arbustes et fourrés croissent sur les talus coquilliers et laissent difficilement le passage, surtout quand alentour, au pied des tumulus, il y a de l'eau partout. Certains bosquets sont quasi impénétrables, on le voit aux nombreuses couches aménagées par les phacochères et les prédateurs noctambules, et aux terriers divers et variés que l'on y découvre. Pas étonnant donc que notre hibou vagabond ait 'enquêté' par ici: à la différence du grand-duc de Verreaux (bubo lacteus) à qui il faut de loin en loin de grands arbres altiers, lui a un faible pour les zones rocheuses, pas forcément hautes, mais avec des pitons, des vires, des balustrades, et des... talus. Il est probable que tel environnement pourrait le satisfaire. Le petit gibier y est.
Pour les oiseaux, en revanche, c'est moins certain: l'eau des lagons, claire comme de l'eau de roche n'est probablement pas assez riche pour nourrir foultitude de micro-vies, d'alevins, d'insectes, et donc d'oiseaux... Ces dernières années, l'eau qui remonte le marigot s'y propage plus vers l'amont, plus aisément et durablement depuis que la rivière N'Galam, qui l'alimente, a été drainée et en partie nettoyée de ses typhaies. Avec elle, les premiers herbiers, quelques scirpaies, et déjà les premières massettes, hélas... D'assez nombreuses gallinules poules-d'eau (gallinula c. chloropus) y ont déjà élu domicile. Cependant, pas de grèbes castagneux (tachybaptus ruficollis ssp.), cette année, allez comprendre pourquoi, encore moins des foulques macroules (fulica atra) qui avaient mené une reproduction à terme, à quelques centaines de mètres d'ici - c'était un événement tropical.
Une ombrette africaine ayant en son bec un long fil de pêche...
Le grand-duc du Sahel est venu voir, c'est certain, ce qu'il en était de ce vaste périmètre comme un ancien champ de bataille déchiqueté par les bombes, à la vérité une gravière de sables coquilliers aujourd'hui en très grande partie délaissée. Il y a bien de temps à autre, un peu plus au sud, et par ici quand le marigot est très au sec, quelques camions du BTP qui viennent se servir en sables, entre la cuvette du Khant et ces vastes excavations aujourd'hui inondées, bordées d'une végétation parfois dense, buissonnante - acérée. Les arbres, arbustes et fourrés croissent sur les talus coquilliers et laissent difficilement le passage, surtout quand alentour, au pied des tumulus, il y a de l'eau partout. Certains bosquets sont quasi impénétrables, on le voit aux nombreuses couches aménagées par les phacochères et les prédateurs noctambules, et aux terriers divers et variés que l'on y découvre. Pas étonnant donc que notre hibou vagabond ait 'enquêté' par ici: à la différence du grand-duc de Verreaux (bubo lacteus) à qui il faut de loin en loin de grands arbres altiers, lui a un faible pour les zones rocheuses, pas forcément hautes, mais avec des pitons, des vires, des balustrades, et des... talus. Il est probable que tel environnement pourrait le satisfaire. Le petit gibier y est.
Pour les oiseaux, en revanche, c'est moins certain: l'eau des lagons, claire comme de l'eau de roche n'est probablement pas assez riche pour nourrir foultitude de micro-vies, d'alevins, d'insectes, et donc d'oiseaux... Ces dernières années, l'eau qui remonte le marigot s'y propage plus vers l'amont, plus aisément et durablement depuis que la rivière N'Galam, qui l'alimente, a été drainée et en partie nettoyée de ses typhaies. Avec elle, les premiers herbiers, quelques scirpaies, et déjà les premières massettes, hélas... D'assez nombreuses gallinules poules-d'eau (gallinula c. chloropus) y ont déjà élu domicile. Cependant, pas de grèbes castagneux (tachybaptus ruficollis ssp.), cette année, allez comprendre pourquoi, encore moins des foulques macroules (fulica atra) qui avaient mené une reproduction à terme, à quelques centaines de mètres d'ici - c'était un événement tropical.
Ci-dessous:
Depuis les tumulus à sables coquilliers, vues sur les gravières aujourd'hui (en très grande partie) reconquises par l'eau (saisonnière) et la végétation riparienne (parfois dense)
2018 01 19, 8h08-13h23 / © Photos smartphone Frédéric Bacuez
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Ci-dessus:
à g., le marigot de Khant-sud, depuis la piste-digue de Mengueye (15h35)
à d., hirondelle de Guinée chassant au-dessus d'un marais du Khant-nord (14h22)
2018 01 19 / © Photos smartphone Frédéric Bacuez
Une ombrette africaine ayant en son bec un long fil de pêche...
Depuis un an tout juste une (1) ombrette africaine (scopus umbretta, hamerkop), une seule, est régulièrement observée sur le marigot de Khant*1. Alors que l'espèce est globalement répandue dans toute l'Afrique occidentale, et qu'on la retrouve assez commune dans la moyenne vallée du fleuve Sénégal*2, très peu de ces oiseaux sont observés à l'aval du lac de Guiers et de Dagana. Longtemps la salinisation des eaux l'a probablement rebutée. Avec le regain rizicole et l'adoucissement à marche forcée de la basse vallée, l'espèce tend peut-être à étendre sa répartition vers l'ouest - qui sait ? Une singulière espèce, à la vérité; en raison de ses us et coutumes, et de son nid - l'un des plus volumineux au monde; un drôle d'oiseau, avec sa tête en forme d'enclume; et un repère totémique dans maintes cultures du continent, tel est le pedigree de notre petit échassier à nul autre pareil, le seul de son genre, un bouffeur de batraciens comme pas deux, à l'exception d'Abu Markub, le père-du-soulier (en arabe), un laideron de la même trempe mais encore plus fameux que lui, un autre cas unique: j'ai nommé le mythique, ultra-localisé et rarissime bec-en-sabot (balaeniceps rex) - frangin, frangin, tu ne connais pas ta chance d'avoir pu l'approcher, et si près !
Lire et voir sur Ornithondar:
*1 (...) Ombrette et Spatules à la digue de Mengueye, 2017 01 26
31 12 - 1 01, pour le chant flûté du Petit-duc africain..., 2017 01 1
*2 Et: Entre Sénégal et Doué: le Walo des ombrettes africaines, 2014 01 26
Ce matin, l'ombrette vole tout droit vers la gravière où je suis en planque derrière un rideau de tamarix senegalensis. Elle arrive du marigot et va rejoindre les talus ombragés de gros prosopis, derrière un massif de scirpes. Je n'ai pas pu voir si l'oiseau a pris place dans un des arbres, protégés des curieux par l'eau riveraine; ou si le pêcheur est venu digérer, et se reposer, au bord de l'eau calme et transparente - pour les grenouilles, à cet endroit, elle oubliera... En passant, on le devine sur les deux photos ci-après, un long fil traîne dans l'air, un fil de nylon, et je ne sais si c'est l'ombrette qui le transporte à dessein, ou pas. Car l'ombrette aime garnir son nid de tous les rebuts de la civilisation des Hommes - sachets plastiques, morceaux de cartons, chaussures - oui oui !-, bouts de tissus - beaucoup ! Cordelettes, tresses et chevelures, naturelles comme artificielles, tout ce qui peut contenir le volume et arrimer les branchages de la maison peut servir. Question: l'ombrette solitaire s'est-elle prise dans un de ces nombreux filets/filins abandonnés ou paresseusement installés au fil des eaux dormantes du marigot ? Ou bien serait-elle en train d'aménager son chalet suspendu, dans l'attente de l'élue ?
Ci-dessous:
pour la documentation...
Ombrette africaine - scopus umbretta, avec un long fil de pêche traînant: accroché au bec ou autour du cou ?
Gravières à sables coquilliers du Khant-nord 2018 01 19, 8h35 / © Photos par Frédéric Bacuez
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Les hirondelles de Guinée sont ici arrivées
Sous la chape d'après-midi (14h-15h, l'heure coriace...), reprenons des forces à l'ombre précaire d'un des nombreux buissons de tamaris de ce petit marais riche d'herbiers, à proximité d'un bassin plus profond jamais gagné par la végétation palustre. A cette heure, ça ne remue guère, dans les herbes. En revanche, des myriades d'hirondelles balayent l'air surchauffé à quelques mètres au-dessus de ma tête: des dizaines d'hirondelles de rivage (riparia r. riparia), plusieurs fois par jour surgissent soudainement, tournoient en tout sens, boivent et cassent la graine aérienne, et puis repartent virevolter dans les ondulations dunaires. Je rappelle aux oublieux que cette espèce fournit au bas-delta son premier bataillon, et de très loin, de passereaux hivernants - deux millions, qu'ils disent, les experts, deux millions (cf. photos ci-dessous) ! On comprendra pourquoi ça remue tant dans le ciel des points d'eau, à heures tapantes... Plus rapides, plus bas encore, au ras des scirpes, entre les buissons, virant à angle droit, remontant presque à la verticale pour redescendre aussi sec en piqué, fonçant sur moi pour changer de trajectoire au dernier instant, mais oui ce sont des hirondelles de Guinée (hirundo l. lucida, red-chested swallow) peut-être les plus intenables et véloces hirundinidés que j'ai eu à suivre des yeux, et, plus énervant encore, avec un appareil photo (cf. photos ci-dessous) ! A coté, leurs cousines eurasiennes les hirondelles rustiques (hirundo rustica) sont des modèles de tranquillité, avec un vol autrement moins inattendu, et surtout plus rectiligne; j'en ai observé quelques-unes ce matin, du coté des gravières - des adultes et des jeunes.
Combien y en a-t-il, de ces hirondelles africaines, d'abord ? Pas un jeu d'enfant que de les dénombrer - je vous y verrais à l'oeuvre, tiens !... Elles bougent tout le temps, les petites boules de plumes aux délicats reflets bleus violacés. Au final, je pense qu'elles sont cinq (5) - trois adultes et deux jeunes dont un sujet à la mue spectaculaire: il a perdu ses tertiaires de l'aile droite et à chacune de ses voltiges on a l'impression que celle-ci va se décrocher du corps. Ce petit groupe familial a du s'établir dans les environs il y a quelques mois (les jeunes sont probablement nés dans les parages), c'est la première fois que je les remarque sur le Khant, en tout cas aux alentours de la digue de Mengueye. Une observation canadienne du 15 janvier rapportée par eBirds a peut-être été faite par ici, ou du coté de la digue traversière dite des GDS; elle prouve en tout cas qu'Hirundo lucida poursuit sa conquête du nord sénégalais, tout au moins du bas-delta à l'aval de Dagana. Goûtons donc notre bonheur en sursis tandis qu'à quelques centaines de mètres Ils détruisent une grande partie des Trois-Marigots, derrière la dune, pour le dieu Profit... Pour une fois qu'une espèce est en expansion* et trouve son compte avec les Hommes qui lui permettent de coloniser ses ouvrages d'art, de faible surface en général - petits ponts, petits viaducs et autres barrages à dimension humaine...
Additif: au sud du 15°N dans ses appartements d'origine, "bonne présence" de l'hirondelle de Guinée sur le marais du Technopôle, à Dakar-Pikine, ce 21 janvier 2018, avec "une troupe considérable (+38 !) qui évolue au-dessus de la zone, et dont plusieurs individus semblent collecter de la boue pour le nid." (Bram Piot, in Senegal Wildlife 2018 01 23)
Additif: au sud du 15°N dans ses appartements d'origine, "bonne présence" de l'hirondelle de Guinée sur le marais du Technopôle, à Dakar-Pikine, ce 21 janvier 2018, avec "une troupe considérable (+38 !) qui évolue au-dessus de la zone, et dont plusieurs individus semblent collecter de la boue pour le nid." (Bram Piot, in Senegal Wildlife 2018 01 23)
* Lire sur Ornithondar:
Confirmation: l'Hirondelle de Guinée colonise un bas-delta plus favorable à son installation, 2016 11 17
Ci-dessous:
en haut, hirondelles de Guinée - Hirundo lucida lucida, adultes (14h26-28)
en bas, hirondelles de rivage - Riparia riparia riparia (11h31)
2018 01 19 / © Photos par Frédéric Bacuez
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Rapaces au Khant, par-delà la digue-piste de Mengueye
Cet hiver sur le marigot de Khant-nord, un (1) immature de pygargue vocifère (haliaeetus vocifer), de seconde à troisième année a priori (cf. photos ci-dessous), est souvent en rivalité avec l'un ou l'autre des deux (2) balbuzards (pandion haliaetus) qui eux-mêmes se contestent les territoires de pêche. Ce sont aussi de jeunes sujets (un jeune mâle tout fripé, en pleine mue; et une femelle déjà grande, cf. photos ci-dessous - mais je ne suis pas un spécialiste...), repoussés dans l'hinterland par leurs aînés qui s'approprient les meilleurs spots, littoraux, jusqu'à leur départ prénuptial. Tordons ici le cou à ces légendes persistantes qui ont trop tendance à 'cousiner' les deux espèces: les balbuzards sont d'authentiques et exclusifs pêcheurs, en rien les carnassiers sanguinaires que peuvent être les pseudo aigles pêcheurs d'Afrique (african fish eagle, comme quoi il n'y a pas que les Français qui donnent aux oiseaux des noms contestables !), beaucoup plus régulièrement qu'on ne le prétend. On a trop souvent cru, parce qu'il a le palais piscivore, que l'emblématique rapace du continent noir perchait près des lacs, marigots et autres bolongs pour seulement y guetter le fretin aquatique... Pensez-donc ! Il ne perd pas d'un œil la troupe aviaire qui fréquente aussi les bas-fonds, les herbiers et autres marais, avec une prédilection désormais avérée, en zone saumâtre, pour les flamants, roses (phoenicopterus roseus) et nains (phoeniconaias minor), et sur tous milieux pour le héron cendré (ardea cinerea)... Proie de chairs et de plumes, mets de choix qu'il dispute à l'aigle de Bonelli (aquila bonelli) lequel nourrit également un faible pour le long bec emmanché d'un long cou...
La piste-digue dite de Mengueye et ses tannes voisines sont un poste stratégique pour observer les évolutions de quelques uns des rapaces* fréquentant la longue dépression - vingt-cinq kilomètres tout de même... Ils sont à chaque fois contraints de s'élever un peu pour franchir la traverse et, surtout, la ligne de poteaux électriques. Du coup, cela nous permet d'avoir quelques instants supplémentaires pour les admirer, passant d'une partie à l'autre du marigot (le sud étant plus aquatique, plus encombré de végétation, le nord plus étale, plus en herbiers, devenant même le plus souvent sec à l'amont). Cet après-midi il y a deux (2) busards des roseaux (circus aeruginosus), un mâle et une femelle lesquels, j'en suis certain, prennent un vif plaisir à lever les foules d'ardéidés, de spatules et de glaréoles à chacun de leurs allers et retours. Un (1) faucon crécerelle (falco tinnunculus), chaque hiver au rendez-vous sénégalais mais jamais abondant; et un (1) jeune et joli faucon lanier (falco biarmicus, lanner falcon) de la race saharienne erlangeri (cf. photos ci-dessous). Faute de preuve de reproduction sous nos latitudes, en tout cas au sud du 17°N (Insenmann, 2010) on pense que des sujets marocains et mauritaniens, essentiellement juvéniles, vagabondent dans notre Sahel (Morel & Morel, 1990) le temps d'atteindre leur maturité; c'est le cas, celui-ci passe par deux fois dans les suspensions poussiéreuses, et me présente parfaitement son plumage caractéristique d'un oiseau de 2e année civile, avec mue au niveau des rectrices - un superbe falconidé.
* Tout de même noté, ces dernières années, exclusivement de cette digue et de sa piste: un (1) busard pâle, au moins un (1+) aigle de Bonelli, des faucons laniers, un (1) possible faucon de Barbarie; des busards cendrés; un (1) élanion blanc et un (1) autour sombre. Et un (1) corvidé: le corbeau brun, s'en retournant chez lui...
Ci-dessus:
faucon lanier - falco biarmicus ssp. erlangeri, 2e AC en mue
Digue de Mengueye 2018 01 19, 15h24 / © Photo (détail) par Frédéric Bacuez
Ci-dessous, de haut en bas et de g. à d.:
Pygargue vocifère, adulte (10h03) - Balbuzard pêcheur (12h49) -
Pygargue vocifère, immature (12h48)
Pygargue vocifère, immature (12h48)
Milan d'Afrique (9h17) - Faucon lanier juvénile (15h24) - Pygargue vocifère immature (12h48)
Khant-nord 2018 01 19 / © Photos par Frédéric Bacuez
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OISEAUX / 90 espèces cochées, 6 sp. entendues
MAMMIFÈRES / 3 espèces vuesODONATES / 1 espèce
Vu:
Grèbe castagneux(tachybaptus ruficollis ssp., little grebe ssp.) [gravières en eau]- Pélican gris (pelecanus rufescens, pink-backed pelican), 1 ind. voudrait se poser (12h50+) [gravières en eau]
- Cormoran africain (microcarbo a. africanus, long-tailed cormorant), 2+ ind. [Khant-nord]
- Bihoreau gris (nycticorax n. nycticorax, black-crowned night-heron), 2 ind. immatures en vol, à l'aube [Khant-nord vers N'Galam]
- Crabier chevelu (ardeola ralloides, squacco heron), 1 + 2 ind. en vol passant + 1 ind. au bord de l'eau [gravières en eau]
- Aigrette ardoisée (egretta ardesiaca, black heron), 180+ ind. [Khant-nord] + ~40 ind. [digue de Mengueye]
- Aigrette à gorge blanche (egretta g. gularis, western reef-egret), 1 ind. au milieu des ardoisées [digue de Mengueye]
- Aigrette garzette (egretta g. garzetta, little egret), 1 + 2 ind. [gravières en eau] + dizaines d'ind. avec spatules et autres ardéidés [Khant-nord] + 1 ind. en vol [digue de Mengueye]
- Aigrette intermédiaire (à bec jaune, egretta intermedia ssp. brachyrhyncha, african intermediate egret), plusieurs ind. dans la masse de spatules et autres ardéidés blancs [Khant-nord]
- Grande aigrette (ardea alba ssp. melanorhynchos, western great egret), 1 + 2 ind. + 1 ind. [gravières en eau] + ~8 ind. pêchant dans les herbiers [du Khant-nord à l'amont de la digue de Mengueye]
- Héron cendré (ardea c. cinerea, grey heron), 1 ind. à l'envol [gravières en eau] + 1 ind. dans les herbiers [Khant-nord depuis la digue de Mengueye]
- Héron pourpré (ardea p. purpurea, purple heron), 1 ind. levé [gravières en eau avec îlots de roseaux] + 2 ind. levés des herbiers [digue de Mengueye coté Khant-sud]
- Ombrette africaine (scopus u. umbretta, hamerkop), 1 ind. avec un long fil nylon en son bec, ou autour du cou - volontairement ou involontairement ? [gravières en eau]
- Ibis falcinelle (plegadis falcinellus, glossy ibis), 3 ind. [Khant-nord]
- Ibis sacré (threskiornis aethiopicus, sacred ibis), au minimum ~18 ind. [Khant-nord]
- Spatule d'Afrique (platalea alba, african spoonbill), au moins 1 ind. (peut-être 3 - 'sont loin !) parmi les spatules eurasiennes et les ardéidés blancs... [Khant-nord]
- Spatule blanche (d'Europe, platalea l. leucorodia, eurasian spoonbill), envol à plusieurs reprises de 300+ ind. [marigot de Khant-nord]
- Ouette d'Egypte (alopochen aegyptiaca, egyptian goose), 2 ind. au repos [Khant-nord]
- Sarcidiorne à bosse (Canard à bosse, sarkidiornis melanotos, knob-billed duck, african comb duck), 3 ind. en vol [vers Khant-sud]
- Dendrocygne fauve (dendrocygna bicolor, fulvous whistling-duck), 8 ind. + 15 ind. [Khant-nord]
- Balbuzard pêcheur d'Eurasie (pandion h. haliaetus, eurasian osprey), 1 ind. (premier à 12h48 !) puis 1 ind. accompagné, pas très méchamment, par le premier hors de son périmètre [Khant-nord] + 1 ind. en vol au-dessus du N'Galam [aval du pont de Ndiawdoune]
- Pygargue vocifère (haliaeetus vocifer, african fish-eagle), 1 ind. ad. vocifère à intervalles réguliers depuis le perchoir d'un prosopis touffu + 1 ind. immature s'élevant du même bosquet à l'approche d'un balbuzard [gravières en eau]
- Elanion blanc (elanus c. caeruleus, black-shouldered kite), 1 ind. au-dessus des champs de l'UGB [Sanar]
- Milan d'Afrique à bec jaune (Milan parasite, milvus aegyptius ssp. parasitus, yellow-billed kite), ~5 à 7 ind. sur site [Khant-nord] + ~100 ind. au-dessus de décharge 'sauvage' [de Ndiaowdoune]
- Busard des roseaux (circus a. aeruginosus, western marsh-harrier), 3 à 4 ind. sur cette partie du Khant-nord: un ad. femelle (vue aussi cerclant en altitude à la verticale du Khant-nord, 13h09), un mâle indéterminé et/ou un mâle ad.., un mâle immature. Leurs passages bas au-dessus des herbiers du marigot lèvent des dizaines de spatules et ardéidés, à chaque fois !
- Faucon crécerelle (falco t. tinnunculus, common kestrel), 1 ind. en vol de chasse [gravières en eau]
- Faucon lanier d'Afrique du nord-ouest (lanius biarmicus ssp. erlangeri, lanner falcon ssp.), 1 ind. (2 peu probables), 2e AC en vol de chasse [Khant-sud vers Khant-nord]
- Francolin à double éperon (pternistis b. bicalcaratus, double-spurred francolin), 1 ind. levé [gravières en eau]
- Marouette à bec jaune (zapornia flavirostra, black crake), 2 ind. détalent ! [gravières en eau]
- Gallinule poule-d'eau (gallinula c. chloropus, common moorhen), à l'évidence assez nombreux ind. dans les gravières dès lors qu'il y a de la végétation palustre même peu fournie: ad. et immatures [gravières en eau]
- Outarde de Savile (lophotis savilei, Savile's bustard), 1 ind. de type femelle traverse la piste, revenant de boire + 1 ind. [boisements à acacias sp.]
- Échasse blanche (himantopus himantopus, black-winged stilt), 1 ind. [gravières en eau]
- Glaréole à collier (glareola p. pratincola, collared pratincole), 12 ind. levés [entre gravières et marigot de Khant-nord] + quelques autres ind. levés par un busard des roseaux mâle, à chacun de ses passages (15h20+) [Khant-nord depuis la digue de Mengueye]
- Petit gravelot du Nord (charadrius dubius ssp. curonicus, northern little ringed plover), quelques ind. ici et là [gravières en eau]
- Grand gravelot (charadrius h. hiaticula, common ringed plover), 1+ ind. seulement [gravières en eau]
- Gravelot pâtre (charadrius pecuarius, Kittlitz's plover), 1 ind. [gravières en eau]
- Vanneau (caronculé) du Sénégal (vanellus s. senegallus, -african- wattled lapwing), 1 ind. [boisements à acacias] + 1 ind. dans les herbiers jaunes [Khant-nord]
- Vanneau éperonné (vanellus spinosus, spur-winged lapwing)
- Bécasseau minute (calidris minuta, little stint), quelques ind. ici et là [gravières en eau] + volée de ~140 ind. [tanne du Khant-sud]
- Chevalier aboyeur (tringa nebularia, common greenshank), au total 3 ind. [gravières en eau]
- Chevalier stagnatile (tringa stagnatilis, marsh sandpiper), 3 ind. presque ensemble ! [gravières en eau]
- Chevalier culblanc (tringa ochropus, green sandpiper), 1 ind. [gravières en eau]
- Chevalier sylvain (tringa glareola, wood sandpiper), au total 5 ind. [gravières en eau]
- Chevalier guignette (actitis hypoleucos, common sandpiper), 1 ind. [gravières en eau]
- Sterne hansel (gelochelidon n. nilotica, gull-billed tern), 1 ind. en vol passant (~11h30) [gravières en eau]
- Ganga à ventre brun/châtain (Ganga sénégalais, pterocles e. exustus, chestnut-bellied sandgrouse), 10 ind. + 31 + 1 + 1 + 1 ind., en vol, revenant de l'abreuvoir ou d'aires de repos diurne, en matinée [Khant-nord]
- Tourterelle masquée (Tourterelle à masque de fer, oena c. capensis, Namaqua dove)
- Tourterelle maillée (spilopelia/streptopelia s. senegalensis, laughing dove)
- Pigeon roussard (de Guinée, columba guinea, speckled pigeon), 1 + 4 + 2 + 4 + 1 ind., en vol passant
- Tourterelle pleureuse du Niger (streptopelia decipiens ssp. shelleyi, -Niger- mourning collared-dove)
- Coucal du Sénégal (centropus s. senegalensis, Senegal coucal), 1 ind. [gravières en eau]
Grand-duc du Sahel(bubo cinerascens, grewish eagle-owl)- Engoulevent à longue queue (caprimulgus c. climacurus, long-tailed nightjar), 3 ind. boivent à l'aube [gravières en eau]
- Martinet des palmes (cypsiurus p. parvus, african palm swift), 1 ind. chassant [gravières en eau]
- Martin-pêcheur pie (ceryle r. rudis, pied kingfisher), 2 à 4 ind. - cc [gravières en eau]
- Guêpier nain (merops p. pusillus, little bee-eater), 3 + 2 ind. [digue de Mengueye coté Khant-sud]
- Guêpier de Perse de l'ouest (merops persicus ssp. chrysoconos, western blue-cheeked bee-eater), surtout entendu, ~3 à 5 ind. vus
- Rollier d'Abyssinie (coracias abyssinicus, abyssinian roller), 1 ind. reposant dans un prosopis (nuit), revu plus tard (jour)
- Calao occidental (tockus kempi, western red-billed hornbill), regroupement de 7 ind. [Toddé]
- Pic goertan (mesopicos goertae, grey woodpecker), 1 ind. mâle ad. sur des troncs d'acacias fraîchement abattus [sur la dune]
- Cochevis huppé du Sénégal (galerida cristata ssp. senegallensis, -Senegal- crested lark), poursuites nuptiales
- Hirondelle de rivage (riparia r. riparia, common sand martin), dizaines voire centaines d'ind.
- Hirondelle de Guinée (hirundo l. lucida, red-chested swallow), ~5 ind. [marais] - ad. et jeunes sujets dont au moins un en mue (cf. photos en haut de notule)
- Hirondelle rustique (hirundo r. rustica, barn swallow), 2 à 3 ind. ad. + 1 ind. juv. + 1 ind. avec hirondelles de rivage et un martinet des palmes, en vol [gravières en eau] + 1 ind. en vol [digue de Mengueye]
- Bergeronnette grise (motacilla a. alba, white wagtail), 2 ind. + 2 ind. à l'abreuvoir bientôt chassés par les bergeronnettes printanières [gravières en eau]
- Bergeronnette printanière (motacilla f. flava, blue-headed wagtail), plusieurs ind. [gravières et environs] mais aussi sous les acacias des boisements dunaires
- Bergeronnette ibérique (motacilla flava ssp. iberiae, spanish wagtail), 1 ind.
- Bulbul des jardins (pycnonotus barbatus ssp. inornatus, garden bulbul), au moins 2 ind. venant boire [gravières en eau]
- Rougequeue à front blanc (phoenicurus p. phoenicurus, common redstart), 1 à 2 ind. - dont un mâle
- Traquet motteux (oenanthe o. oenanthe, northern wheatear), au total 3 ind.
- Agrobate menu (cercotrichas m. minor, african scrub-robin), 1 à 2 ind.
- Agrobate podobé (cercotrichas p. podobe, black scrub-robin), 1 ind.
- Phragmite des joncs (acrocephalus schoenobaenus, sedge warbler), 1+ ind. vu [gravières en eau avec herbiers]
- Hypolaïs obscure (iduna opaca, western olivaceous warbler), 1 ind. moucheronne dans un prosopis
- Pouillot véloce (phylloscopus c. collybita, common chiffchaff), plusieurs ind. moucheronnent aussi bien dans les buissons à tamarix senegalensis et prosopis des bords de gravières que dans les boisements à acacias, mais plus vers le sol que leurs cousins de Bonelli
- Pouillot de Bonelli (phylloscopus bonelli, Bonelli's warbler), plusieurs ind. dans les boisements denses à acacias sp.
- Fauvette sp.(sylvia / curruca sp.), assez nombreux ind. indéterminés - dont possible fauvette à tête noire
- Fauvette grisette (curruca c. communis, common whitethroat), au total 3 ind. identifiés
- Fauvette (passerinette) de Tschusi (curruca inornata ssp. inornata ou/et iberiae, western subalpine warbler), quelques ind., surtout entendus
- Crombec sitelle (sylvietta b. brachyura, northern crombec), cc local - 1 à 2 ind. entendus, 1 ind. vu- + 1 ind. sur autre site
- Cisticole des joncs du Nigeria (cisticola juncidis ssp. uropygialis, nigerian zitting cisticola, fan-tailed cisticola), 1 ind. [gravières en eau]
- Prinia aquatique (à ventre blanc, prinia fluviatilis, river prinia), 2 ind. + famille de 3 ind. [gravières en eau]
- Pririt/Batis du Sénégal (gobemouche soyeux du Sénégal, batis senegalensis, Senegal batis), 1 ind. femelle ad. dans les boisements à acacias sp.
- Pie-grièche à tête rousse (lanius s. senator, woodchat shrike), au total 7 ind. stationnés
- Gonolek de Barbarie (laniarius b.barbarus, common gonolek, yellow-crowned gonolek), 2 ind.
- Brubru africain (nilaus a. afer, brubru), 2 ind. furtifs [boisementsà acacias]
- Choucador à oreillons bleus (lamprotornis c. chalybaeus, greater blue-eared glossy-starling), 6+ ind.
- Moineau doré (passer luteus, Sudan golden sparrow), quelques ind. seulement
- Tisserin à tête noire (ploceus m. melanocephalus, black-headed weaver)
- Amarante (commun) à bec rouge (du Sénégal, lagonosticta s. senegala, red-billed firefinch), cc local [digue de Mengueye]
- Capucin bec-d'argent (euodice c. cantans, african silverbill, mauritanian silverbill), 2 ind. perchent sur des nids-corbeilles de tisserins, sur tamaris [gravières en eau]
- Serin à croupion blanc (crythagra leucopygia, white-rumped seedeater), 1 ind. vient pour boire [gravières en eau]
Entendu:
Dendrocygne fauve (dendrocygna bicolor), entendus en fin de nuit (6h+) / Pygargue vocifère (haliaeetus vocifer), 1+ ind. [Khant-nord] + 1 ind. [Khant-sud] / Francolin à double éperon (pternistis b. bicalcaratus), à l'aube puis en début de matinée / Gallinule poule-d'eau (gallinula c. chloropus) [gravières inondées avec massifs de roseaux] / Grue couronnée noire (balearica p. pavonina, -west african- black crowned crane - Vulnerable/VU-Vulnérable, sur la Liste rouge de l'UICN des espèces menacées de disparition), cc local à l'aube [Khant-nord] / Oedicnème du Sénégal (burhinus senegalensis, Senegal thick-knee), à l'aube / Vanneau éperonné (vanellus spinosus), en fin de nuit / Chevalier sylvain (tringa glareola), 1 ind. à l'aube / Martin-pêcheur huppé (corythornis cristatus ssp. galerita, Malachite kingfisher), 1 ind. [gravières inondées] / Coliou huppé (à nuque bleue, 'oiseau-souris', urocolius m. macrourus, blue-naped mousebird) / Pic goertan (mesopicos goertae), 1 ind. [prosopis près des gravières] / Phragmite des joncs (acrocephalus schoenobaenus) [gravières inondées avec massifs de roseaux] / Fauvette (passerinette) de Tschusi (curruca inornata ssp.) / Fauvette sp. (sylvia / curruca sp.) / Camaroptère à dos gris (camaroptera b. brevicaudata, grey-backed camaroptera), 1 ind. / Tchagra à tête noire (tchagra s. senegalus, black-crowned tchagra), 1 ind. chanteur / Brubru africain (nilaus a. afer), au moins 2 ind. [forêt d'acacias] /
Dendrocygne fauve (dendrocygna bicolor), entendus en fin de nuit (6h+) / Pygargue vocifère (haliaeetus vocifer), 1+ ind. [Khant-nord] + 1 ind. [Khant-sud] / Francolin à double éperon (pternistis b. bicalcaratus), à l'aube puis en début de matinée / Gallinule poule-d'eau (gallinula c. chloropus) [gravières inondées avec massifs de roseaux] / Grue couronnée noire (balearica p. pavonina, -west african- black crowned crane - Vulnerable/VU-Vulnérable, sur la Liste rouge de l'UICN des espèces menacées de disparition), cc local à l'aube [Khant-nord] / Oedicnème du Sénégal (burhinus senegalensis, Senegal thick-knee), à l'aube / Vanneau éperonné (vanellus spinosus), en fin de nuit / Chevalier sylvain (tringa glareola), 1 ind. à l'aube / Martin-pêcheur huppé (corythornis cristatus ssp. galerita, Malachite kingfisher), 1 ind. [gravières inondées] / Coliou huppé (à nuque bleue, 'oiseau-souris', urocolius m. macrourus, blue-naped mousebird) / Pic goertan (mesopicos goertae), 1 ind. [prosopis près des gravières] / Phragmite des joncs (acrocephalus schoenobaenus) [gravières inondées avec massifs de roseaux] / Fauvette (passerinette) de Tschusi (curruca inornata ssp.) / Fauvette sp. (sylvia / curruca sp.) / Camaroptère à dos gris (camaroptera b. brevicaudata, grey-backed camaroptera), 1 ind. / Tchagra à tête noire (tchagra s. senegalus, black-crowned tchagra), 1 ind. chanteur / Brubru africain (nilaus a. afer), au moins 2 ind. [forêt d'acacias] /
Ci-dessus:
en haut à g., héron pourpré (8h33) - à d., ganga à ventre brun, mâle (11h04)
en bas, outarde de Savile dans les boisements à Acacia seyal (13h34)
Khant-nord 2018 01 19 / © Photos par Frédéric Bacuez
Ci-dessous, de g. à d.:
Pririt du Sénégal, femelle ad. (10h36) - Agrobate menu (11h07) - Pic goertan, mâle ad. (10h07)
Prinia sp. (9h30; 9h32) - Cisticole des joncs du Nigeria (9h31)
Capucins bec-d'argent sur nid de tisserin à tête noire hors-saison (9h47)
Pies-grièches à tête rousse (11h56; 12h32-34)
Bergeronnette printanière, déjà en mue (11h55-56) - Gravelot pâtre, prénuptial (12h32)
Aigrettes ardoisées (15h40) - Chevalier aboyeur (12h07) - Ouettes d'Egypte, au repos diurne (15h40)
Khant-nord 2018 01 19 / © Photos par Frédéric Bacuez
- Cliquer sur les photos pour agrandir -
- Patas 'singe rouge' (erythrocebus patas, patas monkey), ~3 ind. revenant de boire [gravières en eau]
- Lièvre des savanes (lepus - microtis - victoriae, african savanna hare), 1 ind. + 1 ind. + 1 ind.
- Écureuil terrestre du Sénégal (xerus erythropus, striped ground squirrel), 2 ind. - un ad., un juvénile [tumulus coquillier] + 1 ind. avec aliment dans la gueule, se dresse sur ses deux pattes arrière à ma vue [bord de piste du Khant oriental]
- (petit) Monarque d'Afrique (danaus chrysippus ssp. chrysippus, common plain tiger, lesser wanderer, queen butterfly, 'african queen'), au total 3 ind. [alentours des gravières en eau]
* Bango-Sinthiane -
- Oedicnème du Sénégal (burhinus senegalensis, Senegal thick-knee), 1 ind. trottine nuitamment au bout de la ruelle (5h+) [devant chez Louis Camara...]
- Engoulevent à longue queue (caprimulgus c. climacurus, long-tailed nightjar), 1 ind. fait de la voltige nocturne (5h+)
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