11, sur le Djoudj, les Pélicans blancs ont réinvesti le nichoir - c'est de saison !
Les Pélicans blancs sur le nichoir du Djoudj (PNOD) 2015 11 11, 17h40 / © Photo par Frédéric Bacuez |
* Parc national des oiseaux du Djoudj (PNOD).
Digue et marigot du Djoudj; steppe de Gainthe-
APREM', SOIR et NUIT-
En véhicule 4x4 et canot motorisé du CIVD.
Avec Maya, Sébastien & Ozzie, Celia & Martin
Et Bressy Fall, écoguide au Comité inter-villageois du parc national des oiseaux du Djoudj (CIVD)
Nouvelle saison de reproduction pour les Pélicans blancs (Pelecanus onocrotalus) du fleuve Sénégal : du coté sénégalais (marigot de Djoudj, dans le parc national des oiseaux du même nom - PNOD) mais aussi, il ne faut jamais l'oublier, du coté mauritanien, avec un site de reproduction régulier (îlot d'Arel dans le parc national du Banc d'Arguin - PNBA), un site de reproduction irrégulier (Aftout es saheli) et des tentatives pas encore concluantes dans le parc national du Diawling (- PND), le vis à vis de notre Djoudj.
Quelque 3 000 couples reproducteurs sur le nichoir de Djoudj...
Nota 1: les Pélicans blancs n'ont pas toujours été fidèles à l'actuel parc national du Djoudj (PNOD). La reproduction en Afrique occidentale de Pelecanus onocrotalus est d'ailleurs très peu documentée, avant les années 70' : on suppose que les oiseaux nichant au Sénégal proviennent des seules petites colonies alors connues, celles de l'Aftout es saheli, précisément sur le site de la Dakhlet Touyour, qui s'avère être le noyau originel de l'expansion des années 90', et du Banc d'Arguin (actuellement 1 600 couples reproducteurs), sur le littoral mauritanien. En 1972, une première reproduction dans les environs du Djoudj sénégalais, infructueuse, avait été tentée par 1 500 couples. L'arrivée des pélicans dans cette boucle intérieure du fleuve Sénégal est peut-être due aux premières conséquences de la grande sécheresse trentenaire qui a débuté en 1969. Une seconde colonie s'établira même, brièvement au début des années 90', dans la réserve ornithologique de Kalissaye, en Casamance, à l'extrême sud du Sénégal. Le retour progressif des pluies dans la dernière décennie du siècle aurait-il mis rapidement fin à cette expérience de nidification loin du bastion sahélien ? A partir de 1976, 2 000 couples nichaient déjà régulièrement dans le bas-delta du fleuve Sénégal. Avec l'augmentation des effectifs et la précarité du site de nidification - trop d'oeufs et de de poussins sont avalés par les rôdeurs (Canis et Phacochoerus, Crocodylus et Varanus !-, un nichoir artificiel est aménagé en 1987 dans une boucle du marigot de Djoudj. Dès lors, malgré la fragilité de l'îlot, sans cesse érodé par les eaux et cerné par les végétaux colonisateurs, c'est l'inflation des chiffres et d'estimations qui restent toujours à affiner : 3 000, probablement le chiffre le plus crédible (certains positivistes et oniriques avancent au doigt mouillé 7 000 oiseaux puis 8 500 et peut-être 10 000 palmipèdes), nicheraient sur le site - qui dit mieux ?!-, de novembre à février, produisant annuellement 3 à 5 000 poussins élevés jusqu'en avril (35 jours d'incubation, premier vol au bout de 65-70 jours). Avec les 7 à 8 000 pélicans immatures et non reproducteurs qui vagabondent entre le lac de Guiers, le bas-delta (près de 1 000 sujets sur les lagons saint-louisiens, de Diawas au Gandiolais via les Trois-Marigots), c'est aujourd'hui une population de 20 000 à 22 500 voire 28 000 Pélicans blancs qui s'épanouirait dans l'ensemble du delta du fleuve Sénégal, des deux cotés de la frontière fluviale, du Banc d'Arguin et de l'Aftout au nord (Mauritanie) au Gandiolais et à la Grande Côte au sud (Sénégal).
... mais en voie de disparition dans le reste de l'Afrique occidentale et centrale
Nota 2 : il ne faut pas se laisser abuser par l'abondance et la fréquence de notre emblème deltaïque, le Pélican blanc alias njagabaar, dans cette enclave sénégalo-mauritanienne aux portes du Sahara. Le Pélican blanc est une espèce raréfiée dans toute l'Afrique occidentale, à l'exception du Sénégal et de la Mauritanie, et même en voie d'extinction dans ses ultimes réduits, du Cameroun au Mali. A l'exception d'une reproduction documentée du delta intérieur du fleuve Niger, à Toguéré Koumbé au début des années 80', due à une accidentelle et favorable pluviométrie locale, il y a belle lurette que les Maliens en ont fini avec leurs pélicans - comme d'ailleurs avec tout ce qui bouge, rampe, court et vole dans le pays. Un peu plus d'une centaine de couples reproducteurs en très grande précarité subsistent encore sur les confins du Tchad (Abou Tougou), du nord Cameroun (Kapsikis) et du Nigeria central (Wase Rock) où la reproduction est trop régulièrement dérangée, pillée, rarement menée à terme. Les populations européennes, caucasiennes et turques (4 900 à 5 600 couples), les seules qui soient migratrices, sont aussi en grande souffrance : en cause, la perte des habitats, l'impact des pesticides sur la nidification, et le braconnage - dans les Balkans et au cours de la migration, au Liban et en Egypte. Seules les effectifs d'Afrique orientale et australe se maintiennent. Et, pour le moment, celles du bas-delta transfrontalier du Sénégal et de la Mauritanie, avant que là aussi, la perte des zones de gagnage et, surtout, les ravages à plus ou moins brève échéance (fragilisation des coquilles d'oeufs et raréfaction des poissons) liés à la monoculture du riz et les cultures maraîchères ne fassent leur effet, comme partout. Qu'est-ce-que vous croyez ? Que tous les bouleversements agricoles en cours dans le bas-delta se font sans utilisation - massive, et hors de tout contrôle !- des fameux "produits phytosanitaires" ? Quelle naïveté... Ou aveuglement !? Même le tout nouveau 'commandant' de l'enclave djoudjienne s'inquiète des impacts à venir sur les oiseaux du minuscule sanctuaire, c'est tout dire...
En rappel: Parc national des oiseaux du Djoudj / Le nichoir des pélicans en danger, in SaintLouisduSénégal.com
Pour aller plus loin:
Les pélicans blancs, des pêcheurs originaux, par Patrick Triplet et Charlotte Houpline, 2013 03 20, in Manuel de gestion des aires protégées d'Afrique francophone, Paris 2009
Why do great white pelican chicks die suddenly on Arel island ?, par A. J. Crivelli in Revue d'écologie, 1994
Quelque 3 000 couples reproducteurs sur le nichoir de Djoudj...
Nota 1: les Pélicans blancs n'ont pas toujours été fidèles à l'actuel parc national du Djoudj (PNOD). La reproduction en Afrique occidentale de Pelecanus onocrotalus est d'ailleurs très peu documentée, avant les années 70' : on suppose que les oiseaux nichant au Sénégal proviennent des seules petites colonies alors connues, celles de l'Aftout es saheli, précisément sur le site de la Dakhlet Touyour, qui s'avère être le noyau originel de l'expansion des années 90', et du Banc d'Arguin (actuellement 1 600 couples reproducteurs), sur le littoral mauritanien. En 1972, une première reproduction dans les environs du Djoudj sénégalais, infructueuse, avait été tentée par 1 500 couples. L'arrivée des pélicans dans cette boucle intérieure du fleuve Sénégal est peut-être due aux premières conséquences de la grande sécheresse trentenaire qui a débuté en 1969. Une seconde colonie s'établira même, brièvement au début des années 90', dans la réserve ornithologique de Kalissaye, en Casamance, à l'extrême sud du Sénégal. Le retour progressif des pluies dans la dernière décennie du siècle aurait-il mis rapidement fin à cette expérience de nidification loin du bastion sahélien ? A partir de 1976, 2 000 couples nichaient déjà régulièrement dans le bas-delta du fleuve Sénégal. Avec l'augmentation des effectifs et la précarité du site de nidification - trop d'oeufs et de de poussins sont avalés par les rôdeurs (Canis et Phacochoerus, Crocodylus et Varanus !-, un nichoir artificiel est aménagé en 1987 dans une boucle du marigot de Djoudj. Dès lors, malgré la fragilité de l'îlot, sans cesse érodé par les eaux et cerné par les végétaux colonisateurs, c'est l'inflation des chiffres et d'estimations qui restent toujours à affiner : 3 000, probablement le chiffre le plus crédible (certains positivistes et oniriques avancent au doigt mouillé 7 000 oiseaux puis 8 500 et peut-être 10 000 palmipèdes), nicheraient sur le site - qui dit mieux ?!-, de novembre à février, produisant annuellement 3 à 5 000 poussins élevés jusqu'en avril (35 jours d'incubation, premier vol au bout de 65-70 jours). Avec les 7 à 8 000 pélicans immatures et non reproducteurs qui vagabondent entre le lac de Guiers, le bas-delta (près de 1 000 sujets sur les lagons saint-louisiens, de Diawas au Gandiolais via les Trois-Marigots), c'est aujourd'hui une population de 20 000 à 22 500 voire 28 000 Pélicans blancs qui s'épanouirait dans l'ensemble du delta du fleuve Sénégal, des deux cotés de la frontière fluviale, du Banc d'Arguin et de l'Aftout au nord (Mauritanie) au Gandiolais et à la Grande Côte au sud (Sénégal).
... mais en voie de disparition dans le reste de l'Afrique occidentale et centrale
Nota 2 : il ne faut pas se laisser abuser par l'abondance et la fréquence de notre emblème deltaïque, le Pélican blanc alias njagabaar, dans cette enclave sénégalo-mauritanienne aux portes du Sahara. Le Pélican blanc est une espèce raréfiée dans toute l'Afrique occidentale, à l'exception du Sénégal et de la Mauritanie, et même en voie d'extinction dans ses ultimes réduits, du Cameroun au Mali. A l'exception d'une reproduction documentée du delta intérieur du fleuve Niger, à Toguéré Koumbé au début des années 80', due à une accidentelle et favorable pluviométrie locale, il y a belle lurette que les Maliens en ont fini avec leurs pélicans - comme d'ailleurs avec tout ce qui bouge, rampe, court et vole dans le pays. Un peu plus d'une centaine de couples reproducteurs en très grande précarité subsistent encore sur les confins du Tchad (Abou Tougou), du nord Cameroun (Kapsikis) et du Nigeria central (Wase Rock) où la reproduction est trop régulièrement dérangée, pillée, rarement menée à terme. Les populations européennes, caucasiennes et turques (4 900 à 5 600 couples), les seules qui soient migratrices, sont aussi en grande souffrance : en cause, la perte des habitats, l'impact des pesticides sur la nidification, et le braconnage - dans les Balkans et au cours de la migration, au Liban et en Egypte. Seules les effectifs d'Afrique orientale et australe se maintiennent. Et, pour le moment, celles du bas-delta transfrontalier du Sénégal et de la Mauritanie, avant que là aussi, la perte des zones de gagnage et, surtout, les ravages à plus ou moins brève échéance (fragilisation des coquilles d'oeufs et raréfaction des poissons) liés à la monoculture du riz et les cultures maraîchères ne fassent leur effet, comme partout. Qu'est-ce-que vous croyez ? Que tous les bouleversements agricoles en cours dans le bas-delta se font sans utilisation - massive, et hors de tout contrôle !- des fameux "produits phytosanitaires" ? Quelle naïveté... Ou aveuglement !? Même le tout nouveau 'commandant' de l'enclave djoudjienne s'inquiète des impacts à venir sur les oiseaux du minuscule sanctuaire, c'est tout dire...
" Pesticides, heavy metal contamination
could have devastating effects on large colonies in the future "
- Crivelli et al., 1991; Elliott et al., 2014
In Pelecanus onocrotalus, Birdlife.org
En rappel: Parc national des oiseaux du Djoudj / Le nichoir des pélicans en danger, in SaintLouisduSénégal.com
Pour aller plus loin:
Les pélicans blancs, des pêcheurs originaux, par Patrick Triplet et Charlotte Houpline, 2013 03 20, in Manuel de gestion des aires protégées d'Afrique francophone, Paris 2009
Why do great white pelican chicks die suddenly on Arel island ?, par A. J. Crivelli in Revue d'écologie, 1994
Ci-dessous:
l'installation saisonnière de milliers de couples de pélicans sur le nichoir du Djoudj, c'est maintenant !
2015 11 11, 17h25-40 / © Photos par Frédéric Bacuez
OISEAUX / 51 espèces cochées, 2 sp. entendues
MAMMIFÈRES / 2 espèces cochées
REPTILES / 1 espèce vue
AUTRES / 1 espèce
Vu:
- Pélican blanc (pelecanus onocrotalus, great white pelican), plusieurs milliers d'ind. sur le nichoir, femelles et mâles en plumage nuptial
- Cormoran africain (phalacrocorax africanus, long-tailed cormorant)
- Grand cormoran à poitrine blanche (phalacrocorax carbo lucidus, white breasted cormorant), dont quelques ind. avec les pélicans du nichoir
- Anhinga (roux) d'Afrique (anhinga rufa, african darter), plusieurs dizaines d'ind., notamment sur perchoirs riverains (gonakiers morts) [marigot de Djoudj]
- Bihoreau gris (nycticorax nycticorax, black-crowned night heron), premiers envols en toute fin de journée [marigot de Djoudj et surtout zone de Gainthe]
- Héron strié (butorides striata, green-backed heron), 1 ind.
- Crabier chevelu (ardeola ralloides, squacco heron)
- Héron garde-boeuf (bubulcus ibis, cattle egret)
- Aigrette garzette (egretta garzetta, little egret)
- Aigrette intermédiaire (egretta intermedia, intermediate egret), 3 ind. formellement identifiés aux cotés d'un héron garde-boeuf, sur un arbre riverain [du marigot de Djoudj]
- Grande aigrette (egretta alba, great egret)
- Héron cendré (ardea cinerea, grey heron)
- Héron pourpré (ardea purpurea, purple heron)
- Flamant rose (phoenicopterus roseus, greater flamingo), 2 ind. sur les tannes [entrée 'officielle' du PNOD]
- Ouette d'Egypte (alopochen aegyptiaca, egyptian goose), 4 ind. en fin de journée [plaine proche du marigot de Djoudj]
- Canard casqué (sarkidiornis melanotos, knob-billed duck), 2 ind. dans un groupe de dendrocygnes, en vol
- Dendrocygne veuf (dendrocygna viduata, white-faced whistling duck)
- Sarcelle d'été (anas querquedula, garganey), 1 seul ind., en vol [marigot de Djoudj] + vols lointains [vers les lacs intérieurs du PNOD]
- Balbuzard pêcheur (pandion haliaetus, osprey), 3 à 5 ind. a priori non bagués [marigot de Djoudj et environs]
- Pygargue vocifère (haliaeetus vocifer, african fish eagle), 1 à 2 ind. ad. [marigot de Djoudj]
- Râle à bec jaune (amaurornis flavirostra, black crake), 1 ind. sur la digue-piste
- Talève d'Allen (porphyrio alleni, Allen's gallinule), 1 ind. [marigot de Djoudj]
- Grue couronnée (balearica pavonina pavonina, west african black crowned crane), ~30 ind. au glanage dans la steppe en toute fin de journée [Gainthe]
- Jacana à poitrine dorée (actophilornis africanus, african jacana), 2 ind. visibles [marigot de Djoudj]
- Échasse blanche (himantopus himantopus, black-winged stilt)
- Oedicnème du Sénégal (burhinus senegalensis, Senegal thick-knee), 3+ ind.
- Glaréole à collier (glareola pratincola, collared pratincole), 4 ind. en vol au-dessus du marigot [de Djoudj]
- Grand gravelot (charadrius hiaticula, common ringed plover), quelques ind., en vol [marigot de Djoudj]
- Vanneau éperonné (vanellus spinosus, spur-winged lapwing)
- Barge à queue noire (limosa limosa, black-tailed godwit), 110+ ind. sur les tannes [entrée 'officielle' du PNOD]
- Bécasseau minute (calidris minuta, little stint), quelques ind.
- Combattant varié (philomachus pugnax, ruff)
- Chevalier aboyeur (tringa nebularia, common greeshank)
- Chevalier guignette (actitis hypoleucos, common sandpiper), 1 ind. [marigot de Djoudj]
- Sterne naine (sterna albifrons, little tern), 2 ind. volent à proximité du nichoir des pélicans [marigot de Djoudj]
- Sterne caspienne (sterna caspia, caspian tern)
- Guifette moustac (chlydonias hybrida, whiskered tern)
- Guifette noire (chlidonias niger, black tern)
- Tourterelle pleureuse (streptopelia decipiens, african mourning dove)
- Coucal du Sénégal (centropus senegalensis, Senegal coucal), 1 ind. [marigot de Djoudj]
- Martin-pêcheur huppé (alcedo cristata ssp. galerita, malachite kingfisher)
- Martin-pêcheur pie (ex alcyon pie, ceryle rudis, pied kingfisher)
- Guêpier nain (merops pusillus, little bee-eater)
- Guêpier de Perse (merops persicus ssp. chrysocercus, blue-cheeked bee-eater), en très grand nombre
- Bulbul des jardins (pycnonotus barbatus, common bulbul)
- Tarier pâtre d'Afrique (saxicola torquatus ssp. moptanus, african stonechat), 1 ind. [marigot de Djoudj]
- Hirondelle de rivage (riparia riparia, common sand martin)
- Hirondelle rustique (hirundo rustica, barn swallow)
- Rousserolle sp. (acrocephalus sp.), 2 ind. [marigot de Djoudj]
- Souïmanga à longue queue (cinnyris pulchellus, beautiful sunbird), 1 ind. mâle internuptial en vol [marigot de Djoudj]
- Tisserin à tête noire (ploceus melanocephalus ssp. capitalis, black-headed weaver)
Martin-chasseur strié (halcyon chelicuti, striped kingfisher), 1 à 2 ind. / Cisticole roussâtre (cisticola galactotes ssp. amphilectus, winding cisticola), au moins 2 ind. [marigot de Djoudj] /
AUTRES:
- Phacochère commun (phacochoerus africanus, common warthog), dont ~20+ ind. [zone de Gainthe] et ~10 à 15 ind. sur d'autres sites et digues-pistes du PNOD
- Patas 'singe rouge' (erythrocebus patas, patas monkey), ~20 ind.
- Varan du Nil (varanus niloticus, Nile monitor)
Vu:
Vanneau éperonné (vanellus spinosus, spur-winged lapwing), 2 ind. (aube) /
Engoulevent à longue queue (caprimulgus climacurus, long-tailed nightjar), 2 ind. (soir et aube) /
AUTRES:
Varan du Nil (varanus niloticus, Nile monitor), 1 à 2 ind. /
Varan du Nil (varanus niloticus, Nile monitor), 1 à 2 ind. /
Luciole sp., très nombreuses autour de la mare (soir) /
Entendu:
Oedicnème du Sénégal (burhinus senegalensis) / (chouette) Effraie des clochers (tyto alba ssp. affinis), 22h55+ / Engoulevent à longue queue (caprimulgus climacurus) /
Chacal doré (canis aureus, golden jackal), 22h30+ /
Oedicnème du Sénégal (burhinus senegalensis) / (chouette) Effraie des clochers (tyto alba ssp. affinis), 22h55+ / Engoulevent à longue queue (caprimulgus climacurus) /
Chacal doré (canis aureus, golden jackal), 22h30+ /
Ci-contre: la mare devant le campement communautaire 'Njagabaar', village de Diadiem
2015 11 12, 7h du matin / © Photo par Frédéric Bacuez
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