8 & 21, déviant du Néarctique: un Bécasseau rousset, le cinquième au Sénégal en un mois !
Bécasseau rousset - Calidris subruficollis, exactement sur la même tanne les 8 et 21 décembre 2016 ! Plaine de crue du fleuve Sénégal 2016 12 21, 11h12 / © Photo par Frédéric Bacuez |
* Quelque part dans la plaine de crue du fleuve Sénégal -
Préambule, au sud du 15e parallèle:
2016 11 24-26:
de Palmarin (Sine Saloum) - par nos camarades du GOBG et de Senegal Wildlife...
Lire:
Un Bécasseau surprise !, par Bram Piot in Senegal Wildlife, 2016 11 30
Four Nearctic Waders, par Bram Piot in Senegal Wildlife, 2016 12 18
Le 24 novembre dernier dans le Sine Saloum sénégalais, sept cocheurs du Groupe Ornithologique du Bassin Genevois (GOBG) rejoints par notre ami Bram Piot de Senegal Wildlife découvraient avec bonheur un Bécasseau rousset (Bécasseau roussâtre, Calidris/Tringytes subruficollis, Buff-breasted Sandpiper), une espèce de limicole nord-américain accidentelle sur la façade orientale de l'Atlantique, ici sur une vasière des environs de Palmarin en compagnie de Bécasseaux sanderlings (Calidris alba) et de Grands gravelots (Charadrius hiaticula). Avant cette observation documentée, seules trois mentions de cet oiseau venu du Néarctique avaient été validées de notre zone: deux en Gambie (novembre 1998 et novembre 2006)*1, une au Sénégal (avril 1985)*2. Avec guère plus de huit mentions répertoriées d'Afrique occidentale et centrale (dernier pointage en 2014 - en Sierra Leone, au Ghana, Bénin et Gabon, plus notre Sénégambie mais sans compter les îles du Cap-Vert ou les Canaries). Ce petit limicole natif des côtes arctiques de l'Alaska et du Canada (plus quelques sites russes du détroit de Béring) hiverne traditionnellement sur le littoral sud-américain du coté de l'Argentine, du Brésil et de l'Uruguay. Après avoir migré via les Antilles et les Guyanes ou le Golfe bordant l'Amérique centrale... Le Bécasseau rousset est aujourd'hui un limicole en déclin, pour la seconde fois en deux siècles, après avoir même frôlé l'extinction dans les années '20 du XXe suite à sa chasse effrénée et aux destructions de ses habitats (d'été, de transit, d'hiver)*3. Depuis 2004, le Bécasseau rousset dont les effectifs ne dépasseraient pas cinquante six mille (56 000) oiseaux à maturité, est inscrit à la Liste rouge de l'UICN des espèces menacées de disparition, bis repetita, dans la catégorie Near Threatened/NT-Quasi menacée. Bienvenue dans la 6e extinction des espèces, la plus expéditive mais dans la joie et la Croissance - verte, bien entendu !
2016 11 24-26:
de Palmarin (Sine Saloum) - par nos camarades du GOBG et de Senegal Wildlife...
Lire:
Un Bécasseau surprise !, par Bram Piot in Senegal Wildlife, 2016 11 30
Four Nearctic Waders, par Bram Piot in Senegal Wildlife, 2016 12 18
Le 24 novembre dernier dans le Sine Saloum sénégalais, sept cocheurs du Groupe Ornithologique du Bassin Genevois (GOBG) rejoints par notre ami Bram Piot de Senegal Wildlife découvraient avec bonheur un Bécasseau rousset (Bécasseau roussâtre, Calidris/Tringytes subruficollis, Buff-breasted Sandpiper), une espèce de limicole nord-américain accidentelle sur la façade orientale de l'Atlantique, ici sur une vasière des environs de Palmarin en compagnie de Bécasseaux sanderlings (Calidris alba) et de Grands gravelots (Charadrius hiaticula). Avant cette observation documentée, seules trois mentions de cet oiseau venu du Néarctique avaient été validées de notre zone: deux en Gambie (novembre 1998 et novembre 2006)*1, une au Sénégal (avril 1985)*2. Avec guère plus de huit mentions répertoriées d'Afrique occidentale et centrale (dernier pointage en 2014 - en Sierra Leone, au Ghana, Bénin et Gabon, plus notre Sénégambie mais sans compter les îles du Cap-Vert ou les Canaries). Ce petit limicole natif des côtes arctiques de l'Alaska et du Canada (plus quelques sites russes du détroit de Béring) hiverne traditionnellement sur le littoral sud-américain du coté de l'Argentine, du Brésil et de l'Uruguay. Après avoir migré via les Antilles et les Guyanes ou le Golfe bordant l'Amérique centrale... Le Bécasseau rousset est aujourd'hui un limicole en déclin, pour la seconde fois en deux siècles, après avoir même frôlé l'extinction dans les années '20 du XXe suite à sa chasse effrénée et aux destructions de ses habitats (d'été, de transit, d'hiver)*3. Depuis 2004, le Bécasseau rousset dont les effectifs ne dépasseraient pas cinquante six mille (56 000) oiseaux à maturité, est inscrit à la Liste rouge de l'UICN des espèces menacées de disparition, bis repetita, dans la catégorie Near Threatened/NT-Quasi menacée. Bienvenue dans la 6e extinction des espèces, la plus expéditive mais dans la joie et la Croissance - verte, bien entendu !
" Originally numbering in the hundreds of thousands to millions (1890s-1900s),
the species was brought to near extinction in the early 1920s (...)
[to] 15 300 - 56 000 mature individuals [2008-2012, in Jorgensen et al. & Norling et al.] (...)
with an estimated range of 35 000 to 78 000 [2012, in Andres et al.]. "
*3 in The IUCN Red List of Threatened Species, 2016
*1 Kaur et Pirang (Gambie), 1998 11 et 2006 11, in Birds of Senegal and the Gambia, Nik Borrow & Ron Demey, Helm Field Guides, Christopher Helm Ed., Londres (UK)
*2 Lac Retba ('Lac Rose', Sénégal), 1985 04, obs. J.J. Guillou rapportée par Morel & Morel et Borrow & Demey
Ci-dessous:
Ci-dessous:
à d., premier Bécasseau rousset de la série (avec un Grand gravelot et un Bécasseau sanderling), près de Palmarin - à g., troisième à cinquième Bécasseaux roussets, près du lac Retba
" J'admire ce superbe limicole (...)...
Quelle coche ! C'est une espèce que j'ai toujours rêvée de voir un jour, mais je ne pensais pas que ce serait ici ! "
- Bram Piot, 'Un Bécasseau surprise' in Senegal Wildlife, 2016 11 30
2016 12 18:
en passant par le lac Retba (Niayes, Grande Côte), par Bram Piot pour Senegal Wildlife
Le 18 décembre dernier (pile-plume le jour de mon anniversaire !), Bram Piot séjourne dans les Niayes, précisément dans les parages du lac Retba plus connu sous le nom de Lac Rose, aux portes du laideron urbain qu'est devenue (depuis longtemps) la péninsule dakaroise. Contrôlant à la longue-vue "une pelouse halophile" beaucoup mieux adaptée à l'écologie du Bécasseau rousset qu'une vasière... trois de ces limicoles néarctiques se trouvent opportunément et miraculeusement ici (cf. photo ci-dessus à g.), dans le viseur de Bram, en compagnie de trente-deux afrotropicaux Gravelots pâtres (Charadrius pecuarius) ! Ce n'est plus un accident mais une invasion yankee ! Mieux, c'est par ici qu'en avril 1985 Jean-Jacques Guillou avait réalisé la première coche de l'espèce nord-américaine en terre sénégalaise...
Au nord du 15e parallèle:
2016 12 8 & 21:
en passant par le lac Retba (Niayes, Grande Côte), par Bram Piot pour Senegal Wildlife
Le 18 décembre dernier (pile-plume le jour de mon anniversaire !), Bram Piot séjourne dans les Niayes, précisément dans les parages du lac Retba plus connu sous le nom de Lac Rose, aux portes du laideron urbain qu'est devenue (depuis longtemps) la péninsule dakaroise. Contrôlant à la longue-vue "une pelouse halophile" beaucoup mieux adaptée à l'écologie du Bécasseau rousset qu'une vasière... trois de ces limicoles néarctiques se trouvent opportunément et miraculeusement ici (cf. photo ci-dessus à g.), dans le viseur de Bram, en compagnie de trente-deux afrotropicaux Gravelots pâtres (Charadrius pecuarius) ! Ce n'est plus un accident mais une invasion yankee ! Mieux, c'est par ici qu'en avril 1985 Jean-Jacques Guillou avait réalisé la première coche de l'espèce nord-américaine en terre sénégalaise...
Au nord du 15e parallèle:
2016 12 8 & 21:
... à la plaine de crue du fleuve (bas-delta du Sénégal), par Frédéric Bacuez pour Ornithondar...
Le 8 décembre dernier dans la plaine de crue du fleuve Sénégal, je viens de longuement observer et photographier un jeune Bécasseau maubèche (Calidris canutus) blessé, très occupé à chercher sa pitance sur une mare de débordement du 'Canal de décharge'. Plus bas dans cette malheureuse partie de la plaine violée par la machinerie humaine, des tannes se sont formées au milieu des terres retournées et des remontées d'antiques huîtres de palétuviers. Sur l'une de ces tannes, dans un environnement dégradé fait de souches de tamarix senegalensis et de boues limoneuses rongées par le sel, plusieurs limicoles (une trentaine de Pluviers argentés, quelques Combattants variés, Bécasseaux minutes, Grands-gravelots, Gravelots pâtres) sont à table et picorent minutieusement les bords de l'eau finissante. A l'écart, il y a une sorte de petit Combattant, bien plus roussâtre qu'il n'y paraît dans les lumières crues et les évaporations tremblantes de cette fin de matinée. Si la femelle de Philomachus pugnax demeure un peu plus grande que notre échassier-mystère, ce dernier reste néanmoins plus svelte qu'elle, plus haut sur pattes que les Bécasseaux minutes (14-15 cm, WS 27-30 cm) et d'une taille similaire à celle des Grands-gravelots (18-20 cm, 35-41 cm) qui l'escortent au bord de la tanne; il est nettement plus volumineux (18-20 cm, WS 41 cm) que le Gravelot pâtre (13-16 cm, WS 33 cm) avec lequel il va s'envoler (cf. photo ci-après). La tête de l'étrange échassier est différente de celle de tous les limicoles que je connais, Combattant y compris... C'est d'ailleurs un oiseau fort gracieux, presque délicat, un mélange de Combattant et de Pluvier, avec une petite tête toute ronde, des yeux noirs comme ceux d'une biche (sic), des reflets sur la poitrine et les flancs plus orangés, un manteau plus contrasté que ceux du Combattant varié, plus écailleux aussi. Son comportement, ses postures, bref son jizz, sont également différents: le limicole rechigne à entrer (loin) dans l'eau, ça c'est clair, préférant arpenter avec frénésie les vasières presque asséchées des environs. Résolument seul, tandis que la bande de Pluviers argentés et de Combattants variés grégaires est déjà partie... Le limicole s'étire souvent vers l'avant, lui conférant un aspect pointu, et fléchit des pattes, de couleur moutarde (jaune-verdâtre), autrement plus souvent que ces derniers. Tiens, l'oiseau s'envole, sur quelques mètres... Clic clac, lumières épouvantables, mauvais réglages de l'appareil - un grand classique... Pas de pattes traînantes derrière la queue, et il y aurait bien sous les ailes cette fameuse virgule sombre caractéristique de l'espèce, sur deux de mes images floues, mais cet indice reste bien aléatoire pour me rendre catégorique. Dix jours durant je me penche régulièrement sur ma série de mauvaises photos, tantôt convaincu qu'il s'agit bien d'un Bécasseau roussâtre - à défaut de rousset...- tantôt résigné à n'en faire qu'un Combattant femelle a-normal(e), mais surtout plus dubitatif et prudent que nos experts saint-louisiens autoproclamés qui ne maîtrisent pas grand-chose mais ne sont pas du genre hésitant ou réservé, encore moins exigeant, bien dans la culture de nos hôtes... Ils connaissent, ex nihilo, c'est d'époque - ni livres ni maîtres, encore moins de jumelles - trop fort !
Ci-après, de g. à d.:
Gravelot pâtre juvénile et Bécasseau rousset à l'envol (11h34) - Bécasseau maubèche juvénile (10h55) - Pluviers argentés, Combattants variés et petits limis' en vol (11h14)
Sur une tanne de la plaine de crue 2016 11 8 / © Photos par Frédéric Bacuez
En-dessous:
à g., Bécasseau rousset le 8 décembre à 11h33 - à d. et suivantes, Bécasseau rousset le 21 décembre à 10h45-11h03
Sur une tanne de la plaine de crue 2016 12 8 et 21 / © Photos par Frédéric Bacuez
- Cliquer sur les photos pour agrandir -
Du 8 (à g.) au 21 décembre 2016 (à d.)
sur la même tanne, dans la plaine de crue du fleuve Sénégal
Le 21 décembre, premier jour de l'hiver, je parcours la plaine de crue pour tenter de mieux comprendre l'impact (négatif) du 'canal de décharge' sur l'écologie extrêmement fragile de ce type d'écosystème, quasiment éradiqué de la planète. Au loin, une femelle immature de Busard cendré (Circus pygargus) houspille un jeune Faucon lanier (Falco biarmicus) qui, sous les voltiges rasantes de l'agresseur, ne sait plus où se réfugier dans un bosquet déliquescent. Je me rapproche des buissons, c'est à quelque deux cent mètres de ma tanne et de son limicole mystérieux de début décembre... Par acquis de conscience, je décide d'y jeter un œil, plus occupé à lever les yeux dans le ciel vers le saint-esprit du Circaète Jean-Le-Blanc (Circaetus gallicus), la pompe des Tantales ibis (Mycteria ibis) et la curiosité insistante à mon égard d'un tout jeune Milan d'Afrique (milvus parasitus). Sur la tanne, qui se réduit comme peau de chagrin sous les assauts du soleil et des vents, tantôt les alizés tantôt l'harmattan, il ne reste que quelques Bécasseaux minutes et un ou deux Grands-gravelots. Et notre limicole ! A onze heures ce matin, la lumière est encore acceptable, sous le ciel bleu échevelé. Cette fois, on va peut-être pouvoir l'identifier, sans douter, le petit échassier ! Pas très loin, pas très farouche; pas de vapeurs, une excellente vision dans la lunette ! Cette fois, c'est bien vrai, il s'agit d'un Bécasseau rousset (Bécasseau roussâtre, Calidris/Tringytes subruficollis, Buff-breasted Sandpiper) ! Mon premier, ici, on l'a compris; et ailleurs dans le monde car l'espèce n'est pas de mes coches sud-américaines, y compris sur les riches vasières de l'Amana qui lui servent d'escale en migration, dans l'ouest guyanais*.
* Calidris subruficollis (Vieillot, 1819), in INPN-MNHN
* Calidris subruficollis (Vieillot, 1819), in INPN-MNHN
Ci-dessous:
Bécasseau rousset - Calidris subruficollis, avec deux Bécasseaux minutes - Calidris minuta
Plaine de crue du fleuve Sénégal 2016 12 21, 11h12-13 / © Photos par Frédéric Bacuez
Épilogue:
Serait-ce un effet collatéral des bouleversements climatiques en cours ? Ou le don du ciel offert aux birdwatchers de plus en plus nombreux, aguerris et talentueux, qui essaiment sur le continent africain ? L'hiver 2016-2017 pourrait devenir une cuvée d'exception quant à l'observation d'oiseaux accidentels venus des confins arctiques. Sur la façade atlantique de l'Afrique, ce seront logiquement des limicoles et des laridés venus d'Amérique du nord, déviés vers l'Afrique on ne sait pourquoi et comment en lieu et place de l'Amérique du sud. Du Maroc à l'Afrique australe les cocheurs pourraient donc admirer certains de ces vagabonds au compas déboussolé... C'est déjà le cas en Afrique du sud (cf. ci-dessous) et sans aucun doute au Maroc, deux pays qui ont de l'avance sur nos régions subsahariennes vouées corps et âmes à l'émergence, aux subtilités de l'esprit (qui exclut) et aux finesses de la culture (qui divertit).
" It seems that changes in weather patterns are really pushing for rarities in odd places.
I'm in Cape Town these days. I was at Strandfontain sewage plants on Saturday and - thanks to the local birding network-
saw an American Golden Plover too. In addition, we got two Pectoral Sandpipers, one Temminck's Stint, one Spotted Crake and one Red-necked Phalarope. "
- Enrico Leonardi à Bram Piot,
commentaire à 'Four Nearctic Waders', page Facebook de Senegal Wildlife, 2016 12 19
Depuis la fin novembre, en attendant de faire le décompte de toutes les observations exceptionnelles de la saison 2016-2017, pas moins de trois espèces de limicoles dites accidentelles ont déjà été documentées par les fins limiers de Senegal Wildlife et du Groupement Ornithologique du Bassin Genevois (GOBG): outre leurs/nos Bécasseaux roussets, un Phalarope à bec large (Phalaropus fulicarius) et un Pluvier bronzé (Pluvia dominica, cf. photo en bas de notule à d.)* ont été notés du Sine Saloum et de la Petite Côte sénégalais. Que les aficionados d'Ornithondar ne soient pas frustrés: nos experts et guides sénégaulois du Gandiolais, ou de Bango maintenant, se feront une joie de vous trouver de nouvelles espèces transatlantiques: il n'y a pas de raison, ils nous inventent déjà des oiseaux presque chaque jour ! Pour rappel, outre notre propre Bécasseau rousset je suis heureux d'avoir à l'actif de ce blog un autre vagabond du Néarctique, un Bécasseau tacheté (Calidris melanotos, cf. photo en bas de notule au centre), documenté le 12 décembre 2012 du marais de Ndiawsir, près de Gueumbeul*2. Sous réserve d'autres données méconnues de nos radars, c'était alors la seconde mention de ce limicole au Sénégal. La même année*1, c'est le jeune Alexander Hiley qui réalisait sur un lagon du Gandiolais*3 la première mention au Sénégal, avec photographies, d'un Bécassin à bec court (Limnodromus griseus, cf. photo en bas de notule à g.), hélas pas suivie d'une publication, par exemple pour l'African Bird Club (ABC).
* Voir sur Senegal Wildlife:
More American waders in Senegal, par Paul Robinson 2012 11 25
18/12: Four Nearctic Waders, par Bram Piot 2016 12 18
Voir sur Ornithondar:
*1 2012: trois mentions de limicoles nord-américains au Sénégal, 2012 12 31
*2 Evénement: 2e mention du Bécasseau tacheté au Sénégal... par Ornithondar et Senegalwildlife !, 2012 12 12
*3 Evénement: Gandiolais, 2e mention africaine du Bécassin à bec court... du Canada !, 2012 11 17
* Voir sur Senegal Wildlife:
More American waders in Senegal, par Paul Robinson 2012 11 25
18/12: Four Nearctic Waders, par Bram Piot 2016 12 18
Voir sur Ornithondar:
*1 2012: trois mentions de limicoles nord-américains au Sénégal, 2012 12 31
*2 Evénement: 2e mention du Bécasseau tacheté au Sénégal... par Ornithondar et Senegalwildlife !, 2012 12 12
*3 Evénement: Gandiolais, 2e mention africaine du Bécassin à bec court... du Canada !, 2012 11 17
Ci-dessous, de g. à d.:
Bécassin à bec court (Gandiolais) 2012 11 17 / © Photo par Alexander Hiley -
Bécasseau tacheté poursuivi par un Combattant varié (Ndiawsir près de Gueumbeul) 2012 12 12 / © Photo par Frédéric Bacuez -
Pluvier bronzé avec Oedicnème du Sénégal (Technopole de Dakar) 2016 12 19 / © Photo par Bram Piot
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