27, encore une hypolaïs polyglotte - et des rousserolles, d'ici et/ou d'ailleurs ?
Hypolaïs polyglotte - hippolais polyglotta, près de la mare Berge du Djeuss 2016 04 27, 10H55 / © Photo par Frédéric Bacuez |
* Autour du Ranch de Bango. Petite mare riveraine du Djeuss -
2016 04 27. MATIN, 9h10-12h25-
A pied.
Temps: mais bon sang, bon... temps ! Enfin !
Encore une Hypolaïs, polyglotte... (mais aphone sous les tropiques)
L'ornithologie n'est pas de l'époque. Il faut aller vite, faire le plus de choses en un minimum de temps. Ne pas s'attarder. Or ce n'est qu'en marchant, à l'amble et en billebaude, comme on dit chez les naturalistes...-, ou en égrenant les heures qui passent, à attendre on ne sait trop quoi, en un lieu prétendument stratégique pour l'observation des petites bêtes, qu'on éprouvera la nature et ses astreintes - mais aussi un peu de soi, ça ne peut faire de mal... Avec, au bout des heures "alanguies" mais jamais "monotones", souvent rien, quelquefois de merveilleuses ou très simples surprises - l'attente étant avant tout absorbée par la contemplation, la méditation, la réflexion, l'engourdissement des membres et du cerveau, parfois la somnolence, bref l'oisiveté... Loin de la fureur et du bruit; de l'importance du monde oiseux des Hommes, et de leurs parades sociales...
Ce matin, on lézardera longuement au bord d'une mare bucolique sous les seuls grands arbres à mille lieues à la ronde (l'un d'eux porte l'aire des pygargues vocifères, un autre est le repaire des perruches et des perroquets et tous sont piquetés par les... pics)... Il m'a repéré mais il s'en moque: un coucal (centropus senegalensis) déambule dans l'herbe verte, tout près, à la recherche de vermine à dépecer. En arrière, c'est le mutin calao à bec rouge (tockus kempi) qui remue les sables. Un martin-chasseur à tête grise (halcyon leucocephala) vient percher à trois mètres de moi, celui-là ne m'avait pas vu, il en a pour son étonnement avant de repartir comme une comète étincelante vers son point de départ... Soudain, je sens une présence, je me retourne: une hypolaïs polyglotte (hippolais polyglotta, melodious warbler) se tient là, aussi, paisiblement sur une branche, à deux mètres, pas plus... Le passereau jaunâtre me dévisage, oscillant de la tête, pas du tout effarouché. Ma sortie matinale a reçu son onction.
Nota 1: c'est la seconde Hippolais polyglotta que nous observons dans les parages de Bango, ces jours-ci*. On ne croise que rarement l'élégant passereau jaunâtre, dans la basse vallée du fleuve Sénégal. Quasi exclusivement au passage de printemps, pour Ornithondar, et plutôt vers la fin de la migration prénuptiale. Les Morel notaient, depuis leur station ornithologique à Richard-Toll: " (...) l'Hypolaïs polyglotte est de passage régulier mais peu copieux de la mi-août au début de novembre. L'espèce fait ensuite totalement défaut jusqu'en janvier où nous disposons d'une seule donnée (...) qui pourrait faire croire à l'hivernage occasionnel. Quelques captures et observations sporadiques de février à juin (date ultime: 20 juin) indiquent une migration prénuptiale clairsemée, irrégulière et très étalée (...) " [Source: Les migrateurs paléarctiques au Sénégal - II, Passereaux et synthèse générale, par Gérard Morel & Francis Roux, in 'La Terre et la Vie', n°2 - 1966]
Les Hippolais du bas-delta sénégalais:
Ce matin, on lézardera longuement au bord d'une mare bucolique sous les seuls grands arbres à mille lieues à la ronde (l'un d'eux porte l'aire des pygargues vocifères, un autre est le repaire des perruches et des perroquets et tous sont piquetés par les... pics)... Il m'a repéré mais il s'en moque: un coucal (centropus senegalensis) déambule dans l'herbe verte, tout près, à la recherche de vermine à dépecer. En arrière, c'est le mutin calao à bec rouge (tockus kempi) qui remue les sables. Un martin-chasseur à tête grise (halcyon leucocephala) vient percher à trois mètres de moi, celui-là ne m'avait pas vu, il en a pour son étonnement avant de repartir comme une comète étincelante vers son point de départ... Soudain, je sens une présence, je me retourne: une hypolaïs polyglotte (hippolais polyglotta, melodious warbler) se tient là, aussi, paisiblement sur une branche, à deux mètres, pas plus... Le passereau jaunâtre me dévisage, oscillant de la tête, pas du tout effarouché. Ma sortie matinale a reçu son onction.
Nota 1: c'est la seconde Hippolais polyglotta que nous observons dans les parages de Bango, ces jours-ci*. On ne croise que rarement l'élégant passereau jaunâtre, dans la basse vallée du fleuve Sénégal. Quasi exclusivement au passage de printemps, pour Ornithondar, et plutôt vers la fin de la migration prénuptiale. Les Morel notaient, depuis leur station ornithologique à Richard-Toll: " (...) l'Hypolaïs polyglotte est de passage régulier mais peu copieux de la mi-août au début de novembre. L'espèce fait ensuite totalement défaut jusqu'en janvier où nous disposons d'une seule donnée (...) qui pourrait faire croire à l'hivernage occasionnel. Quelques captures et observations sporadiques de février à juin (date ultime: 20 juin) indiquent une migration prénuptiale clairsemée, irrégulière et très étalée (...) " [Source: Les migrateurs paléarctiques au Sénégal - II, Passereaux et synthèse générale, par Gérard Morel & Francis Roux, in 'La Terre et la Vie', n°2 - 1966]
Les Hippolais du bas-delta sénégalais:
- Hypolaïs obscure (iduna opaca, western olivaceous warbler)
- Hypolaïs pâle/du Sahara (iduna pallida ssp. reiseri, saharian olivaceous warbler)
- Hypolaïs polyglotte (hippolais polyglotta, melodious warbler)
* Fin de canicule: hypolais polyglotte, gobemouche gris et afflux de rousserolles effarvattes - la migration reprend !, in Ornithondar 2016 04 25
Le même jour, pas le même lieu...
Une hypolaïs polyglotte sur la berge du Djeuss bangotin, Sénégal,
une autre au soleil levant dans le port de Malaga, Espagne !
Rousserolle effarvatte VS rousserolle africaine,
- ou quand l'ornithologue qui se respecte n'est pas omniscient !
Au bord de la petite mare à l'ombre précaire tandis que les alizés font chanter la frondaison des grands arbres... Autour de midi, avant que les vachettes ne viennent perturber les libellules et imposent le silence aux grenouilles invisibles, on se pose quelques questions quant aux rousserolles du coin... Il y en a deux qui bavardent sans interruption même quand je me retire sur la pointe des pieds et vais m'installer sous l'arbrisseau, près de la petite mare voisine du Djeuss. En fait, les deux paludicoles ne font que de fugaces apparitions en lisière du fouillis végétal dans lequel elles se meuvent avec aisance, toujours en caquetant. Soudain, venant du sud passe en vol à coté de moi une autre rousserolle: celle-ci rejoint les vertes massettes qui émergent de la petite mare. Les roseaux n'y ont pas la densité de la typhaie mêlée de tamaris, à quelques mètres plus loin sur les bords du Djeuss. Ce sont ici quelques touffes, qui permettent un déplacement plus aérien, avec escalades et descentes de tiges comme savent si bien le faire les rousserolles effarvattes. Car il s'agit bien ici d'une rousserolle effarvatte. Silencieuse; même pas de brusque cri d'alarme ou de contact, rien ! Celle-ci inspecte les roseaux avant de picorer goulûment et de manière expéditive chaque parasite ou insecte qu'elle trouve. Une échappée en bordure de l'impénétrable roselière riveraine du Djeuss et la voilà déjà revenue vers la phragmitaie de la petite mare. Les rousserolles de la berge seraient-elles, à la vérité, des résidentes, territoriales et bavardes - des rousserolles africaines de la race guiersi ? Impossible d'en être certain tant les deux espèces sont quasiment identiques, et parlent la même langue !
" This species can only be safely distinguished from the [eurasian] reed warbler in the hand.
However, that species is usually found in much wetter habitats (...) "
Acrocephalus baeticatus, in Xeno-Canto
African reed warbler acrocephalus baeticatus, in Handbook of the birds of the world Alive
Découverte de nouveaux sites de nidification de la Rousserolle africaine près de Benghazi, Libye, in Ornithomedia 2010 11 3
Blast from the past - wing formula, par Marcel Gil Velasco in Birdingbytrain 2013 08 12
African reed warbler acrocephalus baeticatus, in Handbook of the birds of the world Alive
Découverte de nouveaux sites de nidification de la Rousserolle africaine près de Benghazi, Libye, in Ornithomedia 2010 11 3
Blast from the past - wing formula, par Marcel Gil Velasco in Birdingbytrain 2013 08 12
Nota 2: Gérard Morel écrivait d'Acrocephalus baeticatus: " bien qu'il passât inaperçu jusque 1960 [Morel & Roux 1962], répandu et assez commun dans les roselières des environs de Richard-Toll. (...) La population du lac de Guier appartient à la nouvelle sous-espèce guiersi dont les limites géographiques restent à définir [Colston & Morel 1984] (...) " Depuis que la station ornithologique de l'ex ORSTOM a quitté nos contrées, pas ou peu d'observations de cette espèce hors les roselières du lac de Guier. Faute d'observateurs, n'y cherchons pas d'autre explication ! Pour notre part, en sachant que l'européenne rousserolle effarvatte ne laisse quasiment pas d'hivernantes dans notre bas-delta, alors que ses passages d'automne et stationnements du printemps y sont très importants et bien visibles, nous avons rencontré en hiver deux rousserolles que nous avons pris pour baeticatus: l'une, observée avec nos collègues du Rutland Osprey Project le 3 février 2011, se trouvait logiquement dans le marais bangotin sur la rive droite du Djeuss. Une seconde, découverte le 20 janvier 2011, se trouvait dans un fouillis d'herbes et de roseaux secs sur la rive d'un bolong vers Taba Ahmetou, toujours dans la plaine alluviale du fleuve Sénégal au sud du barrage de Diama. Le 7 mai 2015 comme cette année, nous étions confrontés à semblable dilemme: les deux sujets qui se tenaient sur le bord d'un chenal du Djeuss, près du lodge du Ranch de Bango, semblaient être des rousserolles africaines; une troisième paludicole, à l'évidence une rousserolle effarvatte retardataire, chassait des insectes dans les broussailles et tas de branches mortes d'un boisement dégradé, bien en arrière des herbiers marécageux du Djeuss... Gérard Morel, encore, au sujet d'acrocephalus scirpaceus scirpaceus: " Abondante au double passage, la Rousserolle effarvatte ne laisse guère d'hivernants dans le bassin inférieur du Sénégal: entre novembre et février, un seul oiseau fut bagué à Richard-Toll, le 6 décembre. En automne l'espèce transite de la mi-septembre à la mi-novembre, au printemps de mars au début de juin, avec des sujets précoces (14 février) et d'autres très tardifs (27 et 30 juin !) Il est singulier de constater que les migrateurs postnuptiaux n'ont été trouvés, d'une manière générale, que dans la végétation palustre alors que les prénuptiaux fréquentent aussi bien la végétation arborée." Tout est dit, et bien dit - mais n'arrange pas nos affaires... L'ornithologie est ainsi faite, de questions et souvent d'impossibles réponses... Je le disais plus haut, tout le contraire des certitudes contemporaines ! [Source: Les migrateurs paléarctiques au Sénégal - II, Passereaux et synthèse générale, par Gérard Morel & Francis Roux, in 'La Terre et la Vie', n°2 - 1966]
Les Acrocephalus du bas-delta sénégalais:
- Phragmite des joncs (acrocephalus schoenobaenus, sedge warbler)
- Phragmite aquatique (acrocephalus paludicola, aquatic warbler)
- Rousserolle effarvatte (acrocephalus s. scirpaceus, eurasian reed warbler)
- Rousserolle africaine (acrocephalus baeticatus ssp. guiersi, african reed warbler)
- Rousserolle turdoïde (acrocephalus a. arundinaceus, great reed warbler)
- Rousserolle des cannes (acrocephalus rufescens ssp. senegalensis, greater swamp warbler)
Ci-dessous:
Rousserolles effarvatte et plus... si affinités...
Berge du Djeuss rive gauche / © Photos par Frédéric Bacuez
- Cliquer sur les photos pour agrandir... et se faire une opinion...-
- Cliquer sur les photos pour agrandir... et se faire une opinion...-
OISEAUX / 37 espèces cochées, 3 sp. entendues
REPTILES / 2 espèces
AUTRES / ~5 espèces
Vu:
- Pélican blanc (pelecanus onocrotalus, great white pelican), 1 + 2 ind. en vol
- Cormoran africain (microcarbo ex phalacrocorax africanus, reed / long-tailed cormorant), 5 ind. perchés [chenal Djeuss]
- Héron garde-bœuf (bubulcus ibis, cattle egret), groupe de ~8 ind. avec les bovins [friches SCL] + 1 ind. en vol [>rizières de Sanar]
- Balbuzard pêcheur (pandion haliaetus, osprey), 1 ind. immature en vol [rizières de Sanar]
- Milan d'Afrique (parasite, à bec jaune, milvus parasitus, yellow-billed kite), 2 ind. avec probable aire dans un eucalyptus [friches SCL] + 1 ind. [mare]
- Francolin à double éperon (pternistis bicalcaratus, double-spurred francolin), 1 ind. [lisières SCL] + 1 à 2 ind. [mare]
- Jacana à poitrine dorée (actophilornis africanus, african jacana), 1 ind. [mare 'de la marouette ponctuée']
- Oedicnème du Sénégal (burhinus senegalensis, Senegal thick-knee), 1 ind.
- Vanneau éperonné (vanellus spinosus, Senegal thick-knee), 1 ind. avec des chèvres + 3 + 2 + 1 + 2 + 1 ind. + 3 ind. [chenal Djeuss]
- Mouette à tête grise (larus cirrocephalus ssp. poiiocephalus, grey-headed gull), petits groupes en vol passant et ~120 ind. au loin vers la station d'épuration [du CROUS/UGB Sanar]
- Tourterelle masquée (oena capensis, Namaqua dove), 1 ind. mâle [même lieu que les fois précédentes...]
- Tourterelle maillée (spilopelia senegalensis, laughing dove), 1 + 1 + 1 ind. + 1 ind. sur grand eucalyptus mort
- Pigeon roussard (de Guinée, columba guinea, speckled pigeon), 4 ind. en vol passant
- Tourterelle pleureuse (streptopelia decipiens ssp. shelleyi, african mourning dove), 1 ind.
- Perruche à collier (psittacula krameri, rose-ringed parakeet), 1 ind. [Ranch-SCL] + 1 ind. [mare], en vol passant
- Touraco gris (crinifer piscator, western grey plantain-eater), 1 ind. en vol passant
- Coucal du Sénégal (centropus senegalensis, Senegal coucal), 1 ind. dans un grand arbre [mare]
- Martin-pêcheur huppé (alcedo cristata ssp. galerita, Malachite kingfisher), 1 ind. vient percher sur le bord du Djeuss là om les roseaux n'ont pas tout envahi...
- Martin-chasseur à tête grise (halcyon leucocephala, grey-headed kingfisher), 2 ind. - dont un sujet dans manguier puis un autre venant percher à trois mètres de moi, quelques instants avant de me voir !
- Guêpier nain (merops pusillus, little bee-eater), 1 + 3 + 3 ind. minimum
- Guêpier à gorge blanche (merops albicollis, white-throated bee-eater), d'abord 1 ind. vient assommer sa proie sur une branche juste devant moi ! Puis dispute avec un guêpier nain du voisinage. Quelques ind. en plus...
- Coliou huppé (à nuque bleue, 'oiseau-souris', urocolius macrourus, blue-naped mousebird), 1 + 3 + 4 + 7 ind.
- Huppe fasciée d'Afrique de l'Ouest (upupa epops ssp. senegalensis, west african hoopoe), 1 ind. sonde...
- Calao à bec rouge (tockus e. kempi, western red-billed hornbill), 2 ind. + 1 et 1 et 1 ind. + 3 ind. + 1 ind. mange, au sol
- Cochevis huppé (galerida cristata ssp. senegallensis, crested lark), dont mâle chanteur [haras du Ranch] et plusieurs ind. [ancienne carrière de sables]
- Bulbul (commun) des jardins (pycnonotus barbatus ssp. inornatus, common bulbul), 2+ ind. [mare]
- Rousserolle effarvatte (acrocephalus s. scirpaceus, eurasian reed warbler), 1 ind. alarme [zone de friches sèches] + 1 ind. silencieux arrive du sud , passe devant moi pour aller manger dans les roseaux épars de la mare puis en lisière du fouillis exploité par les deux rousserolles africaines... (cf. photos ci-dessus)
- Rousserolle sp. (africaine ? acrocephalus baeticatus ssp. guiersi ?, african reed warbler), 2 ind. dans les massettes et fouillis végétal très dense, plutôt bavardes et n'apparaissant que furtivement... (cf. photos ci-dessus)
- Hypolaïs polyglotte (hippolais polyglotta, melodious warbler), 1 ind. vient percher sur une branche, à deux mètres de moi: pas du tout effarouchée, elle change de branche et me regarde (cf. photos ci-dessus et en haut de notule)...
- Crombec sitelle (sylvietta brachyura, northern crombec), 1 ind. [haras du Ranch]
- Souïmanga à longue queue (cinnyris pulchellus, beautiful sunbird), en nombre et déchaînés !
- Tchagra à tête noire (tchagra senegalus, black-crowned tchagra), 1 ind. chante et effectue un vol de parade
- Choucador à oreillons bleus (lamprotornis chalybaeus, greater blue-eared glossy starling), 8 ind. en vol passant [amont>aval Djeuss]
- Moineau domestique (passer domesticus ssp. indicus, house sparrow)
- Moineau doré (passer luteus, Sudan golden sparrow)
- Tisserin à tête noire (ploceus melanocephalus, yellow-backed weaver)
- Amarante du Sénégal (lagonosticta senegala, red-billed firefinch), 2 ind. - cc local [impasse G. Pelloux] + 2+ ind. + 2 ind., femelle et immature/subadulte et 1 ind. mâle ad. à la mare
3 passereaux de deux sp. indéterminées [mare]
Entendu:
Francolin à double éperon (francolinus bicalcaratus, double-spurred francolin), 1 ind. [mare] / Touraco gris (crinifer piscator) / Rollier d'Abyssinie (coracias abyssinicus, abyssinian roller), 1 ind. [Ranch de Bango] / Martin-chasseur à tête grise (halcyon leucocephala), 1 ind. alarme [mare] / Guêpier à gorge blanche (merops albicollis) / Coliou huppé (urocolius macrourus) / Tchagra à tête noire (tchagra senegalus, black-crowned tchagra), 1 ind. différent de l'ind. observé [pas même site] / Bulbul des jardins (pycnonotus barbatus ssp. inornatus) / Gonolek de Barbarie (laniarius barbarus, yellow-crowned gonolek), 1 ind. [Ranch de Bango] / Rousserolle sp. (acrocephalus sp.) / Choucador à longue queue (lamprotornis caudatus, long-tailed glossy starling) [Ranch de Bango] /
AUTRES:
- Écureuil terrestre du Sénégal (xerus erythropus, striped ground squirrel), 1 ind. [même lieu que les fois précédentes...]
- Varan du Nil (varanus niloticus, Nile monitor), 1 ind. (cf. photo ci-dessus) [chenal Djeuss]
- Agame variable (des colons, agama agama, rainbow lizard/agama)
- (petit) Monarque d'Afrique (danaus chrysippus ssp. chrysippus, common plain tiger, lesser wanderer, queen butterfly, 'african queen'), 1 ind. + 2 ind. [mare]
- Demoiselle sp., 1 nd.
- Libellules sp., quelques ind. de deux espèces différentes
Entendu:
Commentaires
Enregistrer un commentaire