25, lonely looking sky...
* Depuis Bango, marigot de Lampsar, coté saumâtre -
Joyeux Noël à toutes et à tous. Frédéric.
Tandis que sternes et mouettes se font parfois prendre par les enfants désoeuvrés dans les eaux de mon bout de Lampsar, je ne peux m'empêcher de mettre en ligne un extrait de ce qui est, pour moi, une des plus belles odes aux oiseaux, le film de Hall Bartlett, "Jonathan Livingston seagull/Jonathan Livingstone le goéland" (1973), servi par une bande originale bouleversante mis en musique et chansons par Neil Diamond. Rarement film et musique n'ont autant réussi mariage pour rendre hommage au petit livre de l'américain Richard Bach, paru en 1970, probablement l'un des plus profonds que l'on puisse lire à un enfant: métaphore de la liberté individuelle, asujettie à une exigence platonicienne de perfectionnement de tous les instants. En toute simplicité, Bach (descendant de l'illustre compositeur...)-Bartlett-Diamond ont touché là, par leurs talents respectifs, au merveilleux... 1973, c'est bizarre, c'est aussi, je l'ai toujours pensé, comme ma deuxième naissance; rien à voir avec la sortie du film, quoique...
Lire aussi: http://ermitage.ouvaton.org/spip.php?article671 (in Bulletin de l'ermitage de Frère François)
" Seul dans le ciel tournoyant
ciel solitaire, seul dans le ciel tournoyant demeurer solitaire
s'émerveiller pourquoi ?
provoquer le merveilleux pourquoi ?
seul dans le ciel tournoyant
seul regardant le ciel
seul dans le ciel changeant
Seul dans l'apparente nuit
nuit solitaire, boucles de nuit solitaires
demeurer seul
jamais satisfait
jamais cela n'est bon
seul dans l'apparente nuit
nuit de l'apparente solitude
apparence de solitude et de nuit "
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Frédéric, je te souhaite de passer un beau Réveillon ,à bientôt thibault
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