12, le Lampsar dans un film de Bohringer, ce soir à la télé
* Bango, Lampsar -
" A Bango, les hippopotames ? Ils dansent, évidemment ! "
- Richard Bohringer dans C'est beau une ville la nuit
Allez, c'est bientôt le 15 août, faisons une digression relative à Saint-Louis-du-Sénégal, histoire de participer, de loin, aux (énièmes) tentatives de réhabilitation de la cité par la nouvelle municipalité et quelques bonnes volontés secouées par l'opiniâtre Marie-Caroline Camara... Ce soir, la télévision publique France 2 diffuse à 22h05 TU le film de Richard Bohringer C'est beau une ville la nuit (2005, cf. affiche ci-contre) dont la dernière partie a été tournée dans les paysages typiques du delta sahélien; mais aussi sur le ponton magique de son ami l'artiste forgeron Gatien Dardenne, sur les rives du Lampsar bangotin, en 'eau douce' (cf. photos ci-dessous), sous les eucalyptus des pygargues qu'on y entend vociférer... Au début du film, on relèvera l'allusion dubitative, en brève de comptoir, à nos hippopotames -chers à Gatien, lire rapports de 2008 03 28 et 2009 06 12- combien même Eddy Graëff et Fretback se sont échiné à prouver -pas compliqué au demeurant...- que nos 'monstres du loch Lampsar' n'étaient pas des hallucinations d'Ardennes... En rappel, Richard Bohringer est un aficionado de Ndar, singulièrement de Bango ...
Ci-dessous : le ponton terrasse de Gatien Dardenne / Photos par Frédéric Bounoure, au centre. en juin 2009, et par Frédéric Bacuez dit Fretback, à g. et à d., en août 2006; droits réservés
Nota : il faut rappeler ici que plusieurs documentaires (dont Le Peuple migrateur, de Jacques Perrin, 2000, précédemment mentionné) et long-métrages ont été réalisés dans la région de Saint-Louis. Pour les fictions : outre C'est beau une ville la nuit, de Richard Bohringer (2005, cf. autre affiche du film ci-dessous), Blancs cassés, de Philippe Venault (1988) et Téranga, de Henry Auriol (2009); Capitaine des ténèbres, de Serge Moati (2005), avec Richard Bohringer; Les caprices d'un fleuve (cf. affiche ci-dessous), de Bernard Giraudeau (1995), avec et toujours Richard Bohringer -on peut voir encore un décor fortifié appelé 'Fort Giraudoux' (!?), dans le parc national de la Langue de Barbarie (PNLB), en surplomb du fleuve; et incontestablement le meilleur, le Coup de torchon (cf. affiche ci-dessous) de Bertrand Tavernier, moite et provincial comme du Chabrol 'tropicalisé', tourné à Bango (en 1981) sur la piste du Ranch : atmosphère, si réaliste...
Salut Fred,
RépondreSupprimerJe l'ai raté... J'étais parti avec mon frère bouffer une côte de boeuf de 1,9 kg, dans un vilage de mon sud-ouest ! P... qu'elle était bonne; je n'ai même pas pu la finir !
Bref, j'ai loupé le film mais je vais essayer de le trouver pour le regarder
Transpire bien !
A +, Laurent
Coucou et merci pour l'info mais je n'ai pas France 2, moi, hummmmmmm !
RépondreSupprimerSinon je fais suivre ton blog à Marie-Caroline qui est en France mais qui rentre la semaine prochaine et qui, justement, me l'avait demandé avant de partir... Elle t'appelera à son retour
Tu vas bien ?
Bizzzzzzzz
Caro