2, le reflux du FIT, à toute vitesse !
* Saint-Louis -
MATIN-
Au pont Faidherbe, 1 oedicnème du Sénégal (burhinus senegalensis, senegal thick-knee) au repos, en plein soleil, sur le chantier de réfection des travées
1 choucador à longue queue (lamprotornis caudatus, long-tailed glossy starling) rejoint un ficus à hauteur du 'Flamingo'
Sur l'île patrimoniale, des centaines de martinets des maisons (apus affinis, little swift) au dessus des bâtiments
A Khor, dans les terrains vagues inondés, des dizaines de barges à queue noire (limosa limosa, bar-tailed godwit) et 7 flamants roses (phoenicopterus roseus, greater flamingo) immatures
Ci-contre : dans les rues de l'Île Saint-Louis, en début de mousson; les martinets des maisons ne manquent pas d'abris pour nicher ! / Photo par Frédéric Bacuez dit Fretback, DR
A Bango, au centre du village, entendu 1 pic goertan (dendropicos goertae, grey woodpecker) dans les cocotiers
Nota : le Front Inter Tropical (FIT, cette ligne 'virtuelle' qui sépare l'Afrique sous influence équatoriale, donc de la pluie, de l'Afrique sous influence des alizés ou de l'harmatan, ce vent d'est venu des confins tchadiens) redescend à toute vitesse vers le sud; après avoir abandonné la Mauritanie, hier, le voici aujourd'hui à hauteur d'une diagonale reliant Mbour-Diourbel-Ranerou-Matam. La mousson s'en va donc, déjà, et rapidement. Si l'humidité atmosphérique persiste, les premiers vents du nord veulent souffler sur le bas-delta, annonçant un radoucissement climatique précoce... Je ne m'en plaindrai pas !
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